Lepapyrus d'Ipuwer existe, bien entendu. Ecrit vers 1650 avant J.-C., il rapporte les catastrophes naturelles qui auraient affligĂ© en ce temps l'Egypte. D'oĂč la «preuve» des dix plaies d'Egypte, si longuement dĂ©crites dans l'article de M. Guigui, et de l'Exode des Juifs vers Canaan qui a suivi la dixiĂšme plaie.

8 résultats Passer aux résultats principaux de la recherche Pas de couverture. Etat Bon. CARTE ANCIENNE A. DELAMARCHE GEOGRAPHIE DES HEBREUX OU TABLEAU DE LA DISPERSION DES ENFANTS DE NOE 1844 Carte authentique du XIXe siÚcle-original map Dimensions de la feuille 48 x 33,5 cm environ Dimensions de la carte au coup de planche 43,5 x 29,2 cm environ Gravure extraite de l'ouvrage Atlas de géographie ancienne, du Moyen Age et moderne par Etat pliure centrale, taches marginales, beau document ref-R2712. Pas de couverture. Etat bon. RO20036155 1857. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Double-planche d'une carte en noir et blanc hors-texte. . . . Classification Dewey 912-Atlas, cartes et plans. Etat Good. Géographie des Hébreux. World of the Israelites. Arabia. MALTE-BRUN c1871 map. Antique 19th century engraved atlas map with original colour; Pierre Sarrazin c1871. x 13 x inches. Condition Good. However, please note Blemish in margin; Light spotting. There is nothing printed on the reverse side, which is plain. Pas de couverture. Etat bon. R150146439 Non daté. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. légÚrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 35 planches illustrées en noir et blanc. 1 planche illustrée en noir et blanc et en couleurs. . . . Classification Dewey 912-Atlas, cartes et plans. Original Map - "Carte de la Route Suivie par les Hebreux, depuis leur depart de l'Egypte, jusqu'a leur entree dans le pays de Chanaan [Map of the Route followed by the Hebrews, from their departure from Egypt, until their entry into the land of Canaan]; Pl. 3"; From "Atlas geographique dresse pour l'histoire universelle de l'eglise catholique de l'abbe Rohrbacher" "Geographical Atlas, Compiled for, the Universal History of the Catholic Church of Abbot Rohrbacher" Dufour, A. H. Auguste Henri; Rohrbacher, Rene Francois; Blondeau, A.; Antoine, Louis Printer; Lahanier-Lacouchy Edité par Gaume Freres et J. Duprey, Editeurs, Paris, France, 1861 Carte Ancien ou d'occasion Etat Collectible-Very Good Quantité disponible 1 Ajouter au panier No Binding. Etat Collectible-Very Good. Text is in French. Original publisher's hand-colored map showing the Exodus of the Israelites from Egypt into the land of Canaan. Map with margins measures 16 1/2" x 21 1/2." Actual map area measures 13" x 18." The horizontal center fold line is original as this map came from an atlas. Map is very clean and intact except for some foxing and age toning on front and back, minuscule wear to edges and corners, and a split measuring about 1/2" from the bottom edge along the fold line. A Very Good copy. Watercolors appear in blue, pink, orange, yellow, and green exclusively as underlines or routes. A legend below the title demarcates the routes taken by different Hebrew people including Abraham, Jacob, and the Israelites. The legend also includes the symbol for "Villes regules du Pays de Chanaan conqueres par Josue" Regulated towns of the Country of Canaan conquered by Joshua". Composition is roughly centered around the present-day Sinai Peninsula, which is labeled on the map as part of Arabia Petraea also, Petrea. Egypt is shown to the west; Canaan includes present-day Israel is shown to the north. Part of the Mediterranean Sea and Red Sea are also depicted. Printed at the bottom is "Les noms soulignes appartiennent a la Geographie Moderne" "The underlined names belong to Modern Geography" which refers to names used at the present time of this map's publication in 1855 this particular copy appeared in an 1861 atlas. Major cities and natural features such as mountains, seas, and rivers are included. Title, legend, and scales of distance in the lower-left corner. Lines of latitude and longitude and neatline also included. The following is printed beneath the map below the neatline "Gravee par A. Blondeau aine," "Impie. [Imprimerie] de Louis Antoine, r, des Noyers, 70, Paris," and "Ecrit par Lahanier-Lacouchy." This map is Plate 3 from an atlas that accompanied "L'Historie universelle de l'eglise catholique" "Universal History of the Catholic Church", a notable work by Abbot Rohrbacher. Rene Francois Rohrbacher 1789-1856 was a French priest, ecclesiastical historian, and politician. The main author of this atlas is Auguste Henri Dufour 1795-1865, a French geographer. original map, original Landkarte , Blatt ca. 34 x 47 cm ORIGINAL MAP /ORIGINALE LANDKARTE de 500 Landkarte. Ancien ou d'occasion - Couverture souple Etat bon Quantité disponible 1 Ajouter au panier Couverture souple. Etat bon. RO20020303 Non daté. In-Plano. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Carte originale, sur papier à la forme,80/55 cm Echelle de 76 Milles pas géométriques, de 600 stades,et echelle de Milles de 75 au degré et stades de 600 au degré, tracé en couleurs des provinces .Carte de la Terre des Hébreux ou Israélites, partagé selon l'ordre de Dieu aux douzes tribus déscendantes des Douzes Fils de Jacob, dressées pour la lecture de l'Ecriture Sainte, sur les cartes et manuscrits des Sts Sanson par Robert, géographe ordinaire du Roy, à Paris, chez Delamarche, géographe,rue du Foin St carte sert à la lecturedu livre intitulé "Notice de l'écriture"par Colome de là du Jourdain, deux portions qui furent accordées aux tribus de Ruben et de et une demie portion aux fils et aux filles de Manassé, 7 portions au tribus de Benjamin, Siméon, AZabullon, Aser, Issachar. 2 cartes à échelle différente .XVIII Úme siÚcle légÚres mouillures sur les contours de la carte. Carte d'environ 70 x 50 cm. . . . Classification Dewey 912-Atlas, cartes et plans. Etat Excellent. Size 490x690 mm, Inches, Hand Colored in Outline.

cestune carte abstraire parce que les premiĂšres cartes modernes, avec la projection Ses trĂšs vastes connaissances de la langue hĂ©breu lui a permis de faire nombreuses traductions notamment de la Bible. En 1523 il publie le Dictionarum Hebraicum et en 1530 le Dictionarum Trilingue, tous les deux (et encore plusieurs ouvrages de grammaire) ont Copyright © 2017 ‱ Mentions lĂ©gales ‱ ‱ Conditions gĂ©nĂ©rales de vente ‱ Politique de confidentialitĂ© ‱ CrĂ©dits photos
Onavait mĂȘme pu dĂ©terminer que parmi les quatre sources principales du rĂ©cit, la premiĂšre Ă©tait datĂ©e de 850-760 avant le Christ et la plus rĂ©cente situĂ©e vers 550
La partie 1 du dossier est Ă  lire des Ă©pisodes prĂ©cĂ©dentsJoseph, petit-fils d’Abraham, se retrouve propulsĂ©, par hasard ou plutĂŽt grĂące Ă  la volontĂ© divine, premier ministre du Pharaon. Il enjoint l’ensemble des HĂ©breux Ă  venir en Egypte oĂč la fertilitĂ© du Nil permet une vie heureuse Ă  tous. HĂ©las, les annĂ©es passent et bientĂŽt les HĂ©breux sont considĂ©rĂ©s comme nuisibles pour la sociĂ©tĂ© Ă©gyptienne ni une, ni deux, ils dont rĂ©duits Ă  l’état d’ naĂźt. Allelujah! les HĂ©breux sont sauvĂ©s MoĂŻse a Dieu dans sa poche ça aide, les pistons ce qui lui permet d’organiser l’Exode de son peuple hors d’Egypte et d’aller conquĂ©rir la Terre promise. Cette Terre Promise, c’est le pays de Canaan, autrement dit IsraĂ«l. MoĂŻse meurt, et c’est alors JosuĂ© qui organise la conquĂȘte du pays. BientĂŽt naĂźt le roi David et son fils Salomon qui vont crĂ©er un vaste empire israĂ©lien et installer la capitale du royaume dans JĂ©rusalem, oĂč Salomon fait construire le premier temple des BabyloniensEnviron 600 ans avant JĂ©sus-Christ, le roi de l’Empire babylonien Nabuchodonosor II rentre dans JĂ©rusalem et dĂ©truit le temple du roi Salomon. S’ensuit un grand transfert de population entre IsraĂ«l et la la victoire des Babyloniens est de courte durĂ©e
 A peine cinquante ans plus tard, ils sont eux-mĂȘmes dĂ©faits par le roi perse Cyrus II. Ce dernier, dans sa grande magnanimitĂ©, autorise les Juifs nouvellement installĂ©s Ă  Babylone de repeupler Jerusalem et de reconstruire le temple de Salomon, qui s’appellera attention, c’est trĂšs original le Second Temple de du temple de JĂ©rusalem, Francesco Hayez, 1867La suite est bien connue. Alexandre le Grand, roi de MacĂ©doine ayant rĂ©ussi Ă  unifier la GrĂšce avec l’aide de son pĂšre Philippe, conquiert l’empire perse vers 330 avant JĂ©sus-Christ. IntĂ©grant l’immense empire constituĂ© par Alexandre, Jerusalem tombe donc encore! entre de nouvelles mains
 Et c’est pas fini! Alexandre n’ayant pas pas de descendance un peu comme le roi Salomon, rappelez-vous, son Empire est partagĂ© Ă  sa mort 323 av. JC entre ses gĂ©nĂ©raux
 La dynastie des SĂ©leucides fondĂ©e par SĂ©leucos, un des gĂ©nĂ©raux d’Alexandre s’accaparera bientĂŽt vers 200 av. JC de JĂ©rusalem et de la Terre Promise ». Les SĂ©leucides rĂ©gneront entre 305 et 64 avant JĂ©sus-Christ sur un territoire allant de la mer MĂ©diterranĂ©e aux frontiĂšres de l’Inde actuelle. Quant Ă  leurs rois successifs, ils s’appelaient soit Antiochos, soit rĂ©volte des MaccabĂ©esLes SĂ©leucides, donc, sont plutĂŽt ouverts d’esprit du moins au dĂ©but et permettent la pratique du judaĂŻsme. Mais quand Antiochos IV arrive au pouvoir en -175, il dĂ©cide de s’inscrire en tant que fervent dĂ©fenseur de la culture hellĂ©nistique
 et interdit aux Juifs de pratiquer leur religion. SacrilĂšge! Il dĂ©crĂšte mĂȘme que le second Temple de Salomon doit ĂȘtre dĂ©sormais consacré  aux Dieux grecs!La colĂšre gronde parmi la population juive
 S’ensuit une terrible guerre civile Ă  l’issue de laquelle les Juifs reprennent le pouvoir. C’est la rĂ©volte des MaccabĂ©es, du nom de la famille juive qui s’est opposĂ©e aux SĂ©leucides et Ă  leur politique anti-judaĂŻsme. Pas les mĂȘmes macchabĂ©es » que dans les films de Romero, donc
 Pour info, les MaccabĂ©es fondent Ă  leur tour une nouvelle dynastie, les HasmonĂ©ens. Mais, franchement, si vous ne savez pas ça, personne ne vous en MaccabĂ©e, vitrail de la chapelle Notre-Dame de ConsolationJudas MaccabĂ©e, Ă  la tĂȘte de son armĂ©e s’empare ainsi de JĂ©rusalem et rend le sanctuaire au culte du Dieu au nom imprononçable, YHWH. Car oui, c’est un sacrilĂšge de prononcer le nom du Seigneur troisiĂšme commandement Tu ne prononceras pas le nom de YHWH en vain. ». Les chrĂ©tiens, eux, le prononcent YahvĂ© ou JĂ©hovah, au choix. Ce n’est que rĂ©cemment que les chrĂ©tiens appellent Dieu Le Seigneur ».♫ Il est nĂ©, le divin enfant â™ȘAllez, maintenant, on fait un bond dans le temps d’une centaine d’annĂ©es. Vous me suivez toujours? On arrive en 61 avant JC, oĂč PompĂ©e envahit Juda Vous vous rappelez? L’empire du roi Salomon avait Ă©tĂ© disloquĂ© Juda au Sud et IsraĂ«l au Nord et renomme cette rĂ©gion
 Vous trouvez ça compliquĂ©, tous ces changements? Je vous rassure, ça ne va pas aller en s’amĂ©liorant! Car en l’an de grĂące 3 avant JĂ©sus-Christ naĂźt
 JĂ©sus Christ! Si cette phrase n’a aucun sens pour vous, allez donc lire ça [NoĂ«l ne fĂȘte pas la naissance de JĂ©sus]L’Adoration des Bergers, Murillo, 1668Jerusalem, ville juive, polythĂ©iste, chrĂ©tienne et enfin
 musulmane!En 135 aprĂšs JĂ©sus-Christ, les Romains chassent les Juifs hors de JĂ©rusalem et renomment le pays Palestine. C’est la deuxiĂšme diaspora juive la premiĂšre ayant eu lieu lors de l’invasion de Nabuchodonosor II, on l’a dĂ©jĂ  vu. Au quatriĂšme siĂšcle, la Palestine passe aux mains de l’empire byzantin. Durant cette pĂ©riode, elle devient Ă  majoritĂ© juive, polythĂ©iste Dieux grecs puis chrĂ©tienne, il ne manque plus qu’une derniĂšre composante pour comprendre toutes les clefs du conflit actuel. Au septiĂšme siĂšcle, les arabes musulmans entament une vaste conquĂȘte de territoires qui les mĂšnera Ă©galement Ă  JĂ©rusalem et puis Ă  Poitiers aussi, oĂč tous les Ă©coliers de France savent que Charles Martel les a arrĂȘtĂ©sEn 638, donc, JĂ©rusalem est conquise par le Calife Musulmans parviendront Ă  garder le pouvoir de la rĂ©gion avec plus ou moins de difficultĂ©s Croisades, NapolĂ©on,
 jusqu’au XXĂš siĂšcle. Pour compliquer le tout, JĂ©rusalem devient ville sainte lorsque, suivant le Coran, Mahomet est montĂ© au ciel depuis la ville
 On se retrouve donc avec une mĂȘme ville devenue sainte pour trois religions diffĂ©rentes! On comprend un peu mieux le bordel les problĂšmes gĂ©opolitiques rĂ©currents dans cette rĂ©gion
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Établis en Canaan grĂące Ă  MoĂŻse, les HĂ©breux ont rĂ©ussi, Ă  la fin du II e millĂ©naire, Ă  rĂ©aliser la promesse que, selon la Bible, Dieu avait faite Ă  Abraham. Commence alors une nouvelle histoire pour ces HĂ©breux devenus sĂ©dentaires. Que font-ils dans leur pays et quelles menaces pĂšsent sur eux ?I. Les premiers rois ou l'Ăąge d'or des HĂ©breux XIe-Xe siĂšcles av. leur entrĂ©e en Canaan, les HĂ©breux vivent encore un temps en plusieurs tribus divisĂ©es. Mais les peuples voisins sont menaçants. Les tribus doivent s'unir et pour cela choisir un premier roi, SaĂŒl, auquel succĂšdent David, puis Bible a laissĂ© de cette Ă©poque le tableau brillant d'un Ăąge d' SaĂŒl, le premier roi des HĂ©breux‱ SaĂŒl, dit la Bible, est un jeune HĂ©breu de haute taille qui sait se battre et commander les soldats. C'est lui que choisit le prophĂšte Samuel comme le premier roi des HĂ©breux. Samuel verse un petit flacon d'huile sur la tĂȘte du jeune homme et lui dit c'est toi qui jugeras le peuple de Dieu et le dĂ©livreras des peuples d'alentour ». Cette cĂ©rĂ©monie s'appelle l'onction. Le successeur de SaĂŒl, David, est oint lui aussi et, Ă  leur suite, de nombreux rois ont fait de David‱ Vers 1000 av. David succĂšde Ă  SaĂŒl. Jeune berger, il se fait remarquer, raconte la Bible, lors d'une guerre des HĂ©breux contre les Philistins. Ces derniers sont d'autant plus redoutables qu'ils possĂšdent des armes en fer, alors que celles des HĂ©breux sont encore en bronze. Un guerrier philistin de trĂšs grande taille, Goliath, vient dĂ©fier les HĂ©breux. David se propose pour l'affronter. GrĂące Ă  sa fronde, il atteint d'une pierre la tĂȘte de Goliath et le blesse Ă  mort.‱ Devenu roi, David prend la dĂ©cision d'installer son palais dans une ville qui n'appartient Ă  aucune tribu hĂ©braĂŻque pour qu'elle soit acceptĂ©e Ă  la fois par les tribus du Nord et par celles du Sud. JĂ©rusalem devient donc la capitale du royaume de David. Il y fait porter l'Arche d'alliance JĂ©rusalem devient aussi centre religieux. David est, enfin, un conquĂ©rant qui agrandit le territoire des HĂ©breux et laisse un puissant royaume Ă  son successeur, Salomon‱ La Bible prĂ©sente Salomon comme un roi juste deux femmes viennent un jour lui demander justice, chacune prĂ©tendant ĂȘtre la mĂšre d'un mĂȘme bĂ©bĂ©. Le roi ordonne alors que l'on coupe en deux l'enfant. L'une des femmes renonce immĂ©diatement Ă  l'enfant ; c'est la vraie mĂšre, juge Salomon, puisque la vie de son enfant lui importe plus que tout.‱ Salomon est aussi un roi bĂątisseur il fait construire un magnifique palais et, Ă  cĂŽtĂ©, le Temple qui abrite l'Arche. Salomon est donc souvent associĂ© Ă  la rĂ©ussite. Pourtant, Ă  bien lire la Bible, on remarque que ses constructions ont coĂ»tĂ© trĂšs cher. Il impose Ă  son peuple des journĂ©es de travail obligatoires. Il semble, de plus, avoir dĂ©savantagĂ© les habitants du Nord du royaume, en cĂ©dant certaines de leurs villes aux PhĂ©niciens, en Ă©change de bois pour le palais et le Temple. Cela explique en partie la division des HĂ©breux Ă  la mort du roi, vers 930 av. Le temps des difficultĂ©s fin du IXe siĂšcle-VIe siĂšcle av. La division du royaume des HĂ©breux‱ Le fils de Salomon n'est acceptĂ© que par les HĂ©breux de JĂ©rusalem et de la tribu de Juda, au Sud. C'est pourquoi son royaume est appelĂ© royaume de Juda. Les HĂ©breux des tribus du Nord choisissent un autre roi et, plus tard, une autre capitale, Samarie. Ils forment le royaume d'IsraĂ«l.‱ Depuis longtemps, HĂ©breux du Nord et du Sud prĂ©sentent bien des diffĂ©rences ils parlent des langues distinctes et ont des versions diffĂ©rentes de la Bible. De plus, les HĂ©breux d'IsraĂ«l vivent au contact d'un autre peuple, les CananĂ©ens, auxquels ils empruntent certaines habitudes et mĂȘme le culte d'un dieu, La disparition du royaume d'IsraĂ«l‱ DivisĂ©s, les HĂ©breux sont Ă  prĂ©sent affaiblis. Le royaume d'IsraĂ«l est agitĂ© par des disputes d'ordre politique et religieux certains rois encouragent en effet d'autres religions que celle de MoĂŻse, et le monothĂ©isme est parfois nĂ©gligĂ©. Le royaume d'IsraĂ«l disparaĂźt en 722 av. quand les Assyriens prennent Samarie et emmĂšnent les prisonniers sur les rives de l' L'exil Ă  Babylone‱ Dans le royaume de Juda, certains rois abandonnent Ă©galement la religion de la Bible. Pour Ă©viter une invasion des Assyriens, ils leur versent des tributs. Mais les Assyriens sont eux-mĂȘmes vaincus par les Babyloniens qui prennent JĂ©rusalem Ă  deux reprises, en 597 et en 587 av. Ils brĂ»lent le palais et le Temple de Salomon, emmenant les prisonniers hĂ©breux Ă  Babylone.‱ Commence alors l'exil. En rĂ©alitĂ©, seul un petit nombre d'HĂ©breux ont quittĂ© le pays, mais tous souffrent de la disparition du Temple et de leurs rois. La Bible tĂ©moigne de la tristesse de cette pĂ©riode Comment chanter un chant de Dieu en une terre Ă©trangĂšre ? Si je t'oublie, JĂ©rusalem, Que disparaisse ma main droite ! Que la langue me colle au palais, si je ne pense pas Ă  toi
 ».‱ Les historiens constatent que cet exil est un moment dĂ©cisif pour l'histoire des HĂ©breux au contact des Babyloniens et d'autres peuples en exil, ils amĂ©liorent leur connaissance des Ă©toiles et changent de calendrier. Ils vont aussi enrichir leur tradition littĂ©raire et ajouter des passages Ă  la Bible. En l'absence de Temple, ils adoptent un lieu de rĂ©union pour honorer leur dieu, la synagogue. Enfin, les HĂ©breux reçoivent alors un nouveau nom Juifs, qui vient de leur dernier royaume, le royaume de Les Juifs au sein des grands empires mĂ©diterranĂ©ens fin du VIe siĂšcle-Ier siĂšcle av. Le retour au pays sous l'empereur perse Cyrus‱ Les Perses, les GrĂ©co-MacĂ©doniens et les Romains ont successivement rĂ©gnĂ© sur la MĂ©diterranĂ©e orientale. Sous leur pouvoir, les Juifs ont eu la possibilitĂ© de dĂ©velopper leur culture.‱ L'empereur perse Cyrus, qui s'empare de Babylone en 539 av. autorise les Juifs, comme les autres peuples exilĂ©s, Ă  retourner dans leur pays. Ainsi, les descendants des HĂ©breux reconstruisent le Temple puis les murailles de JĂ©rusalem. Tous les matins, le prĂȘtre Esdras rassemble les habitants sur une place de la ville pour leur lire la Bible. Les Juifs retrouvent Ă  la fois leur capitale, leur Temple et leur dieu. Leur vie religieuse est riche et de nombreux textes sont ajoutĂ©s Ă  la L'influence de la culture grecque‱ AprĂšs deux siĂšcles d'existence, l'Empire perse est dĂ©truit par Alexandre le Grand. L'empire d'Alexandre est bientĂŽt divisĂ© en royaumes un en Égypte et un autre centrĂ© sur Babylone. Les Juifs dĂ©pendent de l'un, puis de l'autre. Ils dĂ©couvrent alors la culture grecque et s'hellĂ©nisent. C'est ainsi que soixante-douze sages traduisent la Bible en grec Ă  Alexandrie d'Égypte. L'ouvrage est surnommĂ© Bible des Septante ». L'archĂ©ologie montre Ă©galement que les Juifs les plus riches ont adoptĂ© des dĂ©corations grecques pour leurs demeures ou pour leurs La seconde destruction de JĂ©rusalem et la diaspora‱ Au IIe siĂšcle av. les royaumes hellĂ©nistiques se sont affaiblis tandis que l'emprise de Rome se renforce. Les Juifs tirent parti de cette situation pour rejeter les rois hellĂ©nistiques et retrouver un petit royaume indĂ©pendant, la JudĂ©e, dans l'ombre de leur grand alliĂ©, Rome. Celle-ci rĂ©ussit progressivement Ă  l'absorber.‱ Durant les premiĂšres dĂ©cennies de notre Ăšre, les Juifs attendent le retour d'un sauveur ou Messie, hĂ©ritier du roi David. Finalement, entre 66 et 70, ils entrent en guerre contre Rome. Vaincus, ils voient Ă  nouveau JĂ©rusalem dĂ©truite. Le peuple juif se disperse Ă  nouveau, dans tout l'Empire romain, cette fois c'est la diaspora.

LEXODE: Nuit du 15 du premier mois. Les Hébreux quittent l'Egypte au matin du 15 Úme jour du premier mois. Les premiÚres étapes: De RamsÚs à Soukkot, de Soukkot à Pi-Hahirot D' fait camper les hébreux au bord de la mer rouge. Les égyptiens regrettent d'avoir laisser partir les hébreux et les rattrapent au bord de la mer rouge. Les

Dans le monde de la perversitĂ© Ă  vomirLa bande Ă  Rotschild et Rockefeller Les ancĂȘtres des juifs » ashkĂ©nazes sont les descendants d’asiatiques belliqueux des steppes, chassĂ©s par les tribus concurrentes. Ils ont colonisĂ© une Ă©norme zone gĂ©ographique situĂ©e entre la mer Caspienne et la mer Noire, qui constitua le premier grand empire du moyen-Ăąge. Ils se convertirent massivement au talmudisme sous l’impulsion du roi d’ chercheurs comme Benjamin Freedman et Arthur Koestler se sont spĂ©cialisĂ©s sur cette question que certains prĂ©fĂšreraient garder secrĂšte. Shlomo Sand lui aussi l’évoque dans Comment le peuple juif fut inventĂ© ». Le problĂšme rĂ©side en ceci les sionistes sont principalement ashkĂ©nazes ; s’il est dĂ©montrĂ© qu’ils n’ont aucun lien avec le sĂ©mitisme, ils n’ont dĂšs lors plus aucune lĂ©gitimitĂ© Ă  revendiquer la Khazars, des juifs
 pas juifsLes ancĂȘtres des Juifs actuels n’ont jamais vĂ©cu en Palestine et ils ne sont donc pas sĂ©mites
 Extrait d’une confĂ©rence de Johann Khazars ancĂȘtres des IsraĂ©liensProfesseur Abraham N. Poliak, titulaire de la chaire d’histoire Ă  l’universitĂ© de Tel-Aviv, a prĂ©sentĂ© sa thĂšse intitulĂ©e La conversion des Khazars au judaĂŻsme, qui fut accueillie avec beaucoup d’hostilitĂ© par la communautĂ© ashkĂ©naze. Son essai dĂ©molissant la tradition sacrĂ©e » faisant remonter tous les juifs modernes aux 12 tribus bibliques d’IsraĂ«l. 30 ans plus tard, son nom fut supprimĂ© de l’Encyclopedia JudaĂŻca pour l’édition 1971-1972, preuve de l’étendue de la polĂ©mique Ă  ce sujet. Freedman dĂ©veloppa sa thĂšse dans une lettre ouverte adressĂ©e au Dr. David Goldstein en 1954 qu’il fit amplement circuler. Pour Freedman, plus de 90% des juifs actuels descendent des Khazars, en tenant compte des mariages entre les communautĂ©s ashkĂ©nazes et sĂ©farades. Ses thĂšses seront reprises plus tard par Arthur sont les HĂ©breux ?Les HĂ©breux ne pas chaldĂ©ens mais ils vinrent en ChaldĂ©e comme Ă©trangers, et ont Ă©tĂ© traitĂ©s de la sorte, et chassĂ©s. Le pays d’origine des HĂ©breux est dĂ©crit dans le premier livre de MoĂŻse comme Ă©tant la rĂ©gion entre Messa et Saphar, la montagne de l’est d’Ebal, c’est-Ă -dire la rĂ©gion de la pointe, le point le plus au sud de la pĂ©ninsule l’Ancien Testament, on peut lire, comme nous venons de le dire, que Sem Ă©tait le fils de NoĂ©, ce qui est une erreur. Cela vient du fait que NĂ©hĂ©mie et Esdras ont pris les poĂšmes et les lĂ©gendes du vieux Babilus, les ont recopiĂ©s et les ont adaptĂ©s selon leurs intĂ©rĂȘts en les falsifiant. Ils ont fait pareil avec l’histoire du roi Sargon, qu’ils ont pris comme modĂšle pour l’histoire de MoĂŻse, dont la vĂ©ritable histoire est complĂštement diffĂ©rente. De plus, MoĂŻse a vĂ©cu plus de 1000 ans aprĂšs Sargon.Les HĂ©breux viennent donc en vĂ©ritĂ© de ce point gĂ©ographique, dont parle le premier livre de MoĂŻse 10-30, c’est Ă  dire de l’endroit le plus Ă©troit de la mer Rouge, tout au sud, au pied du mont Ebal. Une nouvelle tribu s’était formĂ©e Ă  partir de peuples diffĂ©rents. Le chef de cette nouvelle tribu s’appelait Abil Habr, chassĂ© de la tribu des SchabĂ©es. La tribu prit le nom de Habrites, qui devinrent plus tard les HĂ©breuxD’autres hommes chassĂ©s de leur tribu vinrent se joindre Ă  cette nouvelle tribu, ainsi que des esclaves Ă©vadĂ©s. Peu Ă  peu se forma un nouveau peuple. Ali Habr fit construire une forteresse, et partit Ă  la conquĂȘte de l’üle de Bara Perim, qui appartenait au royaume d’Égypte. LĂ , il fit alliance avec les tribus Ă©thiopiennes, les Amchars et les Kabyles. Ensemble ils conquirent le territoire des Maures jusqu’au lac Ugan l’Ouganda actuel. Il fonda un royaume et c’est Ă  cet endroit que ce peuple devint le peuple hĂ©breu. Le centre de ce pays porte le nom de Habr, d’aprĂšs Ali Ali Habr avait instituĂ© la polygamie, un peuple complĂštement nouveau Ă©mergea, constituĂ© de mĂ©langes de plusieurs types humains. Dans la force de l’ñge, Ali Habr contracta une maladie sexuelle. À cette Ă©poque vivait un sorcier dans la tribu des Genites au pays de Sina SinaĂŻ. Il Ă©tait connu pour faire des miracles Ă  travers des sacrifices humains qu’il destinait Ă  un dieu sauvage. Ali le fit venir Ă  lui. Le sorcier introduisit le rite de la circoncision et le dieu, Jaho/YahvĂ©/El SchaddaĂŻ, chez les ce YahvĂ© qui apparut Ă  Abraham, un descendant direct d’Ali, avec ces mots Ani ha El SchaddaĂŻ = Je suis El SchaddaĂŻ. Il exigea de nombreux sacrifices humains, beaucoup de guerres et fit un pacte avec les HĂ©breux pacte de sang hĂ©breu. Ali Habr dĂ©veloppa ses conquĂȘtes et prĂ©para une guerre contre le pays de Habach, dont le roi Ă©tait de la famille du pharaon. Le roi appela les Égyptiens Ă  l’aide. Le pharaon Sesostris Ier envoya une flotte et une armĂ©e, les HĂ©breux furent battus. Les soldats du pharaon prirent aussi la forteresse de Har Habr, triomphant de leur l’histoire d’Ali Habr !Tous les crimes des HĂ©breux se trouvent dans les livres de MoĂŻse Ă  Esther celui-ci devrait s’appeler le livre de MordekhaĂŻ MardochĂ©e, d’aprĂšs le plus grand malfaiteur de l’Écriture sainte, dont personne ne sait pourquoi elle s’appelle sainte alors qu’elle devrait s’appeler l’histoire criminelle des HĂ©breux. On peut y dĂ©nombrer plus de soixante-dix massacres et gĂ©nocides, sans compter les crimes, les pillages, les viols, l’inceste et autres atrocitĂ©s. Le pire est qu’aucun de ces crimes n’est jamais puni. Au contraire, c’est YahvĂ© qui ordonne ces mĂ©faits, et ils correspondent bien aux principes du Talmud. Le peuple juif s’identifie malgrĂ© tout, Ă  part quelques exceptions, sans honte, Ă  cette loi et Ă  son histoire il faut ajouter qu’aujourd’hui 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’HĂ©breux ou de SĂ©mites, mais sont un mĂ©lange de Huns et de Turcs. Ils ne viennent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, et n’ont pas de liens gĂ©nĂ©tiques avec Abraham, Isaac et Jacob, mais avec les Huns, les Uigoures et les Magyars. Comment est-ce possible ?VoilĂ , le peuple juif se compose de deux parties, les Sefardim et les Ashkenazim. Les Sefardim sont d’origine hĂ©braĂŻque et ont vĂ©cu depuis l’AntiquitĂ© en Espagne en hĂ©breu, SĂ©farade, d’oĂč ils ont Ă©tĂ© chassĂ©s au 15Ăšme siĂšcle. Dans l’édition de 1960 de l’Encyclopedia JudaĂŻca on trouve ces faits En 1960 il y a 500. 000 juifs d’origine hĂ©braĂŻque dans le monde. Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 sont les Khazars ?Les Khazars sont un peuple d’origine turque nord de la Turquie, dont la vie et l’histoire sont trĂšs proches du dĂ©veloppement de l’histoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils Ă©taient des nomades des steppes, gui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6Ăšme siĂšcle ils s’établirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des VarĂšgues. Le royaume khazar Ă©tait Ă  son apogĂ©e et menait constamment la guerre. Il n’y eut pas de moments pendant lesquels ils ne faisaient pas la guerre. Ils dominaient de grands territoires de la mer Noire Ă  la mer Caspienne, et du Caucase Ă  la Volga. Au 8Ăšme siĂšcle le Chagan, le roi des Khazars, se convertit au judaĂŻsme, ainsi que sa cour et une grande partie du peuple. La raison principale de leur acte Ă©tait due Ă  leur position gĂ©ographique prĂ©caire entre l’empire romain d’Orient et les partisans victorieux de Mahomet. Les deux exigeaient des Khazars qu’ils se convertissent, les uns au Christianisme, les autres Ă  l’Islam. Les Khazars choisirent le judaĂŻsme, refusant les deux autres. Au cours des deux siĂšcles qui suivirent, la plupart des Khazars se convertirent, et Ă  la fin du 9Ăšme siĂšcle tous les Khazars Ă©taient de religion fut Obadiah, un successeur de Bulan sur le trĂŽne, qui renforça le royaume et affermit la religion juive. II invita des savants Ă  s’établir dans son royaume, fonda des synagogues et des Ă©coles. Le peuple fut introduit Ă  la Bible et au Talmud Les Khazars utilisaient l’écriture hĂ©braĂŻque. Mais leur langue restait la laissa le trĂŽne Ă  son fils Ezekiah, celui-ci le laissa Ă  son fils Manasseh, puis vinrent Hannukah, Isaac, MoĂŻse, Nisi, Aaron II, joseph, tous descendants directs d’Obadiah. Les VarĂšgues de Russie, peuple d’origine scandinave, s’étaient Ă©tablis Ă  Kiev, jusqu’à la derniĂšre bataille contre les Khazars. Les Russes gagnĂšrent cette ultime bataille et 4 ans plus tard ils envahirent le royaume des Khazars, Ă  l’est de l’Azov. Beaucoup de membres de la famille royale se rĂ©fugiĂšrent en Espagne, d’autres en Hongrie, mais la majoritĂ© resta dans leur pays. Jewish Encyclopedia, Volume IV, article on Khazars, page 1-5.Le meilleur historien en matiĂšre de juifs autoproclamĂ©s d’Europe de l’Est est le professeur H. Graetz, auteur du livre History of the jews. Il explique que les Khazars exerçaient une sorte de religion fanatique, un mĂ©lange de sensualitĂ© et d’inceste. AprĂšs Obadiah il y eut un grand nombre de rois khazars, et d’aprĂšs leur droit, il devait ĂȘtre juif. Pendant un grand laps de temps les souverains d’autres nations n’eurent pas connaissance de la conversion du royaume khazar, et quand ils l’apprirent, ils crurent que le royaume abritait les descendants des 10 tribus. Ces informations ne sont pas secrĂštes, elles proviennent d’un dictionnaire, The jewish Encyclopedia. Et cela prouve, mis Ă  part 5 Ă  6 % de la population juive d’aujourd’hui, qu’il n’y a pas de liens directs avec les HĂ©breux. Donc ce ne sont pas des SĂ©mites ! Les juifs d’origine khazars les plus connus aujourd’hui sont les Rothschild. Leur nom vient de l’enseigne Schild en allemand rouge Rot, le blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel Bauer, dans la rue des Juifs Ă  il est possible de rĂ©pondre Ă  une question importante Pourquoi est-ce que ce sont les juifs qui ont planifiĂ© la rĂ©volution bolchevique, qui l’ont faite et financĂ©e ? Que voulaient les juifs en Russie ? Pour les raisons Ă©noncĂ©es ci-avant, il est comprĂ©hensible que les Khazars, chassĂ©s par la monarchie russe, aient voulu reconquĂ©rir leur plus, les prĂ©sidents de l’Union SoviĂ©tique, LĂ©nine, Staline, Khroutchev, Gorbachev, Eltsine, mĂȘme le leader d’extrĂȘme droite Jirinovsky, sont des juifs AshkĂ©naze, c’est Ă  dire des khazars !Il est primordial de comprendre cela, car c’est bien la preuve que la notion d’antisĂ©mitisme n’a rien Ă  voir avec ces juifs-lĂ , elle est donc complĂštement dĂ©placĂ©e. Tout le monde arabe par contre, est d’origine sĂ©mite. Le bon terme serait judĂ©ophobe. Ce sont donc ceux qui disent que les juifs d’aujourd’hui n’ont pas de rapport avec les HĂ©breux qui ont raison. Et ils n’ont dix fois pas le droit Ă  un État d’IsraĂ«l en Palestine ! En clair, les habitants actuels d’IsraĂ«l n’ont pas de raisons et pas de droit de vivre dans un Ă©tat israĂ©lien, car ils ne sont pas d’origine hĂ©braĂŻque ou israĂ©lite. Les juifs modernes pourraient revendiquer, tout au plus, une partie de la juif du Birobidjan SituĂ© Ă  6 000 kilomĂštres Ă  l’est de Moscou, Birobidjan fut donnĂ© aux Juifs de Russie par Staline dans les annĂ©es 1920. Cette enclave au cƓur de la SibĂ©rie orientale existe toujours et prospĂšre. Un expert de plus en la matiĂšre est Alfred Lilienthal, qui dans son livre The Zionist Connection montre Ă  l’aide de documents, que la naissance de l’État d’IsraĂ«l en 1948 a Ă©tĂ© l’aboutissement d’intrigues politiques massives entre des juifs khazars et leurs infĂąmes compagnons, en Angleterre et aux n’est un secret pour personne que le droit de l’État sioniste Ă  une terre s’appuie sur une loi internationale une rĂ©solution de l’ONU de 1947 sur la rĂ©partition de la Palestine, et non pas sur l’origine hypothĂ©tique du peuple juif ou sur le pacte mythique d’Abraham avec le Dieu YahvĂ© ! Cette rĂ©solution a Ă©tĂ© obtenue de force par les les dĂ©cisions viennent de New York. La plupart de nous savent qu’il y a plus de juifs Ă  New York qu’à JĂ©rusalem, que New York appartient Ă  des juifs khazars pas seulement les banques ou la RĂ©serve FĂ©dĂ©rale, mais aussi des immeubles, des terrains, des hypermarchĂ©s, etc.Le Rabbin Stephen Wise nous confirme dans son autobiographie que cette dĂ©claration de Lilienthal est un fait historique. Jusqu’à aujourd’hui les Arabes ont Ă©tĂ© bafouĂ©s et trompĂ©s autant qu’il se peut. Vu sous cet angle, les juifs modernes, les Khazars, sont les plus grands antisĂ©mites, car ils torturent les peuples arabes, qui sont les vĂ©ritables SĂ©mites, en menant des guerres, Ă  travers les banques juives internationales et -les magnats du pĂ©trole. Comprenez-vous tout, clairement ? Comprenez-vous que tout ce que vous entendez dans les mĂ©dias ou que vous regardez, est le contraire de la vĂ©ritĂ© ?Aussi la politique sioniste est-elle le fruit du travail des Khazars et non des HĂ©breux. Celui qui combat les sionistes n’est pas antisĂ©mite. Il est au plus antisioniste. MĂȘme le terme Sion a Ă©tĂ© faussĂ© par les Khazars. Les juifs s’attribuent la montagne Sion comme la montagne oĂč habite le peuple dominateur, ce qui est grotesque. Dans la Nouvelle Bible de JĂ©rusalem, Psaume 48, il est dit Il est grand le Seigneur, il est comblĂ© de louanges, dans la ville de notre Dieu, sa montagne sainte. Belle et altiĂšre, elle rĂ©jouit toute la terre. L’ExtrĂȘme- Nord, c’est la montagne de Sion, la citĂ© du grand roi. Le mot Sion est mal traduit. En hĂ©breu on lit Sion, et on dĂ©crit la montagne Sin sumĂ©rien, qui parle de la montagne du Nord – d’aprĂšs les Templiers Societas Templi Marcioni, la montagne de minuit, l’Allemagne actuelle. Et le Psaume 48 le dit bien La montagne de Sion se trouve loin dans le Nord!La plupart des gens en Europe rĂ©pondraient Ă  la question sur la signification du judaĂŻsme, sans sourciller, que le judaĂŻsme est la religion des juifs, donc leur systĂšme de valeurs, leur foi. Ils diraient que c’est la religion de l’Ancien Testament et qu’ils s’appuient sur les enseignements de MoĂŻse. La plupart rĂ©pondraient dans ce sens, ce qui sonne ce n’est pas la vĂ©ritĂ© !HervĂ© Ryssen est le plus grand spĂ©cialiste contemporain de la question juive. Ses dix ouvrages majeurs sur l’histoire et la psychanalyse du judaĂŻsme sont incroyablement riches, prĂ©cis et TreiziĂšme Tribu L’Empire khazar et son hĂ©ritage. A l’époque oĂč Charlemagne se fit couronner empereur d’Occident, l’extrĂ©mitĂ© orientale de l’Europe, entre le Caucase et la Volga, Ă©tait dominĂ©e par un État juif connu sous le nom d’Empire khazar » Ainsi dĂ©bute le rĂ©cit d’Arthur Koestler sur l’une des plus passionnantes Ă©nigmes des temps mĂ©diĂ©vaux. En historien novateur, il retrace mĂ©ticuleusement l’épopĂ©e des Khazars, de leurs origines Ă  leur dĂ©clin. S’attardant sur la composition de la mosaĂŻque ethnique de ce peuple guerrier et sur ses mythes, l’auteur dĂ©peint un monde mĂ©connu qui contribua Ă  façonner la destinĂ©e de l’Europe mĂ©diĂ©vale. De son Ă©tude ressort l’influence de cet Ă©pisode sur le dĂ©veloppement du judaĂŻsme russe et europĂ©en. Aux confins des mondes occidentaux et orientaux, Ă  une Ă©poque riche en Ă©popĂ©es guerriĂšres, l’autoritĂ© khazare est le seul exemple concret d’un État juif avant la fondation de l’IsraĂ«l hongrois nĂ© en 1905, Arthur Koestler, romancier, philosophe et essayiste, fait ses Ă©tudes Ă  Vienne puis devient journaliste en Palestine. Revenu en Europe, il adhĂšre au parti communiste allemand, sĂ©journe en URSS puis participe Ă  la guerre civile espagnole. InstallĂ© en Angleterre en 1940, il s’impose dĂšs la fin des annĂ©es trente comme une grande figure de la lutte contre le totalitarisme soviĂ©tique, notamment Ă  travers son chef-d’Ɠuvre Le ZĂ©ro et l’ distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein, qui prĂ©side le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive institution que l’on dĂ©signe souvent comme le Vatican du judaĂŻsme », est l’auteur de l’ouvrage Les Pharisiens, Mouvement religieux, contexte sociologique de leur apparition, titre qui est devenu un classique dans le monde entier., le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous dit Le pharisaĂŻsme devint le talmudisme, le talmudisme devint le rabbinisme mĂ©diĂ©val, et le rabbinisme mĂ©diĂ©val devint le rabbinisme moderne. Mais au travers de tous ces changements de nom 
, l’esprit des anciens pharisiens est demeurĂ© le mĂȘme 
. De Palestine jusqu’en Babylonie, de Babylonie jusqu’en Afrique du Nord, puis en Italie, en Espagne, en France, et en Allemagne, puis de lĂ , en Pologne, en Russie, et dans toute l’Europe orientale, l’ancien pharisaĂŻsme a continuĂ© son voyage, 
 ce qui dĂ©montre son importance en tant que l’une des grandes religions du monde. »Dans ce grand classique, le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous retrace toute l’histoire du judaĂŻsme, en partant du pharisaĂŻsme pratiquĂ© en JudĂ©e au temps de JĂ©sus. Le rabbin Louis Finkelstein y confirme ce que nous disait dĂ©jĂ  l’éminent rabbin Adolphe Moses, dans son plus grand classiquele rabbin Adolphe Moses nous dĂ©clare Parmi tous les malheurs qui sont advenus, celui dont les consĂ©quences furent les plus regrettables, est l’invention du mot judaĂŻsme ». Pire encore, les Juifs eux-mĂȘmes en sont venus Ă  dĂ©signer leur propre religion sous le nom de judaĂŻsme », alors que ni dans la Bible, ni dans les Ă©crits postĂ©rieurs, ni dans le Talmud, il n’est fait une seule fois mention de ce terme. La Bible parle de la Torah Yahweh, de l’instruction », ou de la loi morale rĂ©vĂ©lĂ©e par Yahweh », ou encore en d’autres lieux de Yirath Yahweh la crainte de Yahweh ». Ce sont ces appellations qui furent employĂ©es au cours des Ăąges au sein de notre religion. Toutefois, pour la distinguer du christianisme et de l’islam, les philosophes juifs la dĂ©signent parfois comme la foi des Juifs ». Mais c’est Flavius JosĂšphe qui a inventĂ© le terme de judaĂŻsme pour pourvoir Ă  l’instruction des Grecs et des Romains sur cette question, et de maniĂšre Ă  distinguer cette religion de l’hellĂ©nisme. Par le mot hellĂ©nisme », il faut comprendre toute la civilisation, y compris la langue, la poĂ©sie, la religion, l’art, la science, les maniĂšres, la coutume, et les institutions, qui s’étaient rĂ©pandues depuis la GrĂšce, foyer originel, jusqu’aux vastes rĂ©gions d’Europe, d’Asie et d’ sĂ»r, les chrĂ©tiens s’emparĂšrent avidement du mot, pendant que les Juifs, qui dĂ©testaient profondĂ©ment le traĂźtre Flavius JosĂšphe, refusaient tout simplement de lire ses Ă©crits. C’est pourquoi le terme de judaĂŻsme », inventĂ© par Flavius JosĂšphe, resta complĂštement inconnu des Juifs, et ne fut utilisĂ© par eux qu’à une Ă©poque relativement rĂ©cente ; aprĂšs que les Juifs eussent commencĂ© Ă  lire des ouvrages chrĂ©tiens. C’est pourquoi ils se mirent eux aussi, Ă  appeler leur religion “judaĂŻsme”. »Ces deux citations des deux plus grands spĂ©cialistes mondiaux sur ce sujet, Ă©tablissent Ă  la fois que le judaĂŻsme » ne fut jamais le nom d’aucun culte religieux pratiquĂ© en JudĂ©e aux temps de JĂ©sus Flavius JosĂšphe vivant au premier siĂšcle de notre Ăšre, et que le culte pratiquĂ© aujourd’hui par les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s descend directement du pharisaĂŻsme. Lettre de Benjamin H. Freedman au Docteur David GoldsteinEn considĂ©ration de votre illustre position, je vous avoue qu’il m’a fallu un grand courage pour oser vous Ă©crire cette si longue lettre. Je prie donc pour que vous lisiez mes paroles en gardant Ă  l’esprit le verset 16 du chapitre 4 de l’ÉpĂźtre aux Galates Suis-je donc devenu votre ennemi en vous disant la vĂ©ritĂ© ? », et j’espĂšre que vous me ferez l’honneur de mĂ©diter sur le sens profond de ce verset, avant de rĂ©agir Ă  tout ce que je vais vous vĂ©ritablement pour moi une source de grand plaisir et de joie authentique de pouvoir vous saluer enfin, malgrĂ© tous les inconvĂ©nients de la correspondance. J’éprouve une dĂ©ception profonde de devoir faire votre connaissance de cette maniĂšre. Ma joie actuelle serait bien plus intense si j’avais eu le privilĂšge de pouvoir vous saluer en personne pour l’occasion de notre premiĂšre dĂ©couvrirez dans cette lettre un grand nombre de raisons qui justifieront pleinement l’urgence avec laquelle j’ai dĂ» mettre fin Ă  toute temporisation pour entrer de plein pied en contact avec vous. Vous dĂ©couvrirez que cette urgence ne fait que reflĂ©ter la gravitĂ© de la crise qui met aujourd’hui en pĂ©ril la permanence de la foi chrĂ©tienne dans cette lutte ancestrale qui fit d’elle la force spirituelle et sociale la plus efficace pour le dĂ©veloppement du bien ĂȘtre de toute l’humanitĂ©, dans une mission divine qui n’avait de considĂ©ration ni pour une race particuliĂšre, ni pour une religion particuliĂšre, ni pour une nationalitĂ© dernier article est paru au mois de septembre dans le Bulletin du la publication officielle de cette organisation qui s’est baptisĂ© La Grande ConfraternitĂ© de ceux qui Prient pour la paix et la bienveillance envers IsraĂ«l
 Le titre de votre article Ce que pensent les Juifs aujourd’hui », et la vocation du rappelĂ©e sur la premiĂšre page Faire connaĂźtre et promouvoir l’apostolat chrĂ©tien entrepris parmi IsraĂ«l », me poussĂšrent immĂ©diatement Ă  saisir par les cheveux l’occasion de vous prĂ©senter mes commentaires. Je sollicite donc votre indulgence si ma lettre prĂ©sente les dĂ©fauts de la spontanĂ©itĂ© qui lui a donnĂ© les plus grands intĂ©rĂȘts de cette noble cause, Ă  laquelle vous continuez Ă  consacrer tout votre temps ainsi que vous l’avez toujours scrupuleusement fait depuis dĂ©jĂ  plusieurs dĂ©cennies, je vous invite trĂšs respectueusement et trĂšs sincĂšrement Ă  Ă©tudier attentivement les donnĂ©es qui vont ĂȘtre prĂ©sentĂ©es ici. Je vous suggĂšre Ă©galement de prendre toutes les mesures que vous jugerez nĂ©cessaires, et qui seront le rĂ©sultat logique de vos conclusions. Au milieu de cette guerre idĂ©ologique, invisible et intangible, qui se livre pour la dĂ©fense de l’immense hĂ©ritage chrĂ©tien contre ses ennemis consacrĂ©s, une attitude favorable de votre part serait un pas capital vers la victoire. En revanche, votre simple passivitĂ© se muerait immĂ©diatement en un recul sensible de l’effort souscrivez probablement Ă  cet adage selon lequel il est prĂ©fĂ©rable d’allumer une seule bougie plutĂŽt que de rester assis dans les tĂ©nĂšbres, et bien j’ai toujours pensĂ© moi aussi qu’il dĂ©peignait une attitude trĂšs sensĂ©e et trĂšs saine. Certes, les tentatives solitaires que j’ai dĂ©jĂ  entreprises pour donner la lumiĂšre Ă  ceux qui sont dans les tĂ©nĂšbres, pourraient avoir le mĂȘme rĂ©sultat auprĂšs de vous qu’auprĂšs de ce nombre considĂ©rable de personnes qui demeurent la preuve vivante de tous les Ă©checs que j’ai connus au cours des trente derniĂšres annĂ©es. Mais dans votre cas et jusqu’au jour d’aujourd’hui, je suis restĂ© assez toujours nourri l’espoir, pas tout Ă  fait vain me semble-t-il, qu’un jour, l’une de ces chandelles se transformerait en un vĂ©ritable brasier, comme un tison qui dort dans une grange et se rĂ©veille tout d’un coup pour dĂ©chaĂźner un immense feu de prairie, appelĂ© Ă  traverser de part en part toute la nation, avant d’illuminer pour la premiĂšre fois les vastes horizons d’un avenir rĂ©novĂ©. Voyez-vous, c’est dans ce rĂȘve irrĂ©ductible que je puise le courage qui me maintient sur le champ de bataille, avec en face de moi, toute cette Ă©trange Ă©trangetĂ© Ă  laquelle l’histoire de ma vie m’a Ă©videmment des milliers d’annĂ©es, il a Ă©tĂ© dit avec justesse qu’à la fin c’est toujours la vĂ©ritĂ© qui prĂ©vaut ». En effet, nous savons tous que la vĂ©ritĂ© peut se rĂ©vĂ©ler d’une force infinie. Mais hĂ©las, jusqu’à ce jour, nul n’a vu la vĂ©ritĂ© se mettre en marche toute seule. Personne n’a jamais vu la vĂ©ritĂ© quitter son point mort sans qu’un apĂŽtre ne lui ait dĂ»ment communiquĂ© la poussĂ©e minimale qui puisse contrebalancer son inertie. Sans cela, la vĂ©ritĂ© ne bougera pas, et ne fera bouger cher Docteur Goldstein, vous avez sans doute dĂ©jĂ  observĂ© qu’en voulant faire un peu de bien d’un cĂŽtĂ©, les personnes bien intentionnĂ©es » dĂ©clenchent souvent un mal irrĂ©parable de l’autre. Chacun de nous finit par rencontrer cette expĂ©rience bien amĂšre. Ainsi, le jour d’aujourd’hui vous montre dans le perpĂ©tuel sacrifice de tous vos efforts et de toute votre Ă©nergie, dans le but Ă©mĂ©rite de faire entrer les Juifs » prĂ©tendus, ou autoproclamĂ©s tels dans le sein de l’Église catholique romaine, par le biais de la conversion Ă  notre foi. Beaucoup de grĂące et meilleure chance Ă  vous, puissent vos efforts ĂȘtre couronnĂ©s d’un grand succĂšs
Mais mon cher Docteur Goldstein, je dois vous dire que votre travail contribue sans que vous ne le sachiez, et d’une maniĂšre non nĂ©gligeable, Ă  la dissolution de la foi d’un nombre considĂ©rable de rĂ©action dont vous allez faire preuve face Ă  ce que vous allez lire, peut devenir le verdict le plus important jamais prononcĂ© au cours des derniers siĂšcles, dans le domaine de la dĂ©fense de la foi chrĂ©tienne. Je vous recommande donc sincĂšrement de ne pas perdre de vue la grande responsabilitĂ© qui va ĂȘtre la vĂŽtre maintenant, et j’espĂšre que vous allez Ă©tudier cette lettre dans le moindre dĂ©tail, depuis son premier mot, jusqu’à son tout ceux qui le nient partout et en permanence, les Ă©vĂ©nements de ces derniĂšres annĂ©es ont attestĂ© sans plus laisser le moindre doute, que la foi chrĂ©tienne se prĂ©sente dĂ©sormais avec un pied dans la tombe, et un autre pied sur une peau de banane, en parlant figurativement je vous l’accorde. Mon cher Docteur Goldstein, ne pas s’en rendre compte serait se fermer dĂ©finitivement Ă  toute rĂ©alitĂ©, et choisir de ne plus voir les Ă©vidences. Je crois que vous ĂȘtes bien trop rĂ©aliste pour vous autoriser ainsi Ă  vous duper les chrĂ©tiens du monde libre ne pourront plus exercer publiquement leur foi, nous aurons connu le dernier jour du christianisme. Ce que connaissent dĂ©jĂ  50 % des humains pourrait trĂšs vite se propager Ă  toute la population du monde. C’est mĂȘme trĂšs probablement ce qui devrait se produire, si le cours des choses suit la tendance actuelle. Une maladie maligne ronge le monde comme un cancer, elle se propage de maniĂšre gĂ©omĂ©trique, comme des cellules cancĂ©reuses. Elle se rĂ©vĂ©lera sĂ»rement fatale si des mesures d’une extrĂȘme rigueur ne sont prises trĂšs vite pour l’endiguer. Mais qu’est-il entrepris aujourd’hui pour la stopper, ou mĂȘme seulement pour la ralentir ?Mon cher Docteur Goldstein, vous souvenez-vous du nom de ce philosophe qui a dit il n’y a rien de permanent dans le monde, sauf le changement » ? Et bien cette philosophie devra s’appliquer Ă  la foi chrĂ©tienne elle aussi
 Et mon autre question Ă  100 francs est de savoir si ce changement sera pour le meilleur, ou pour le pire
 Le problĂšme est aussi simple que cela. Or, si l’on continue Ă  suivre pendant les 37 annĂ©es qui viennent, la voie qui fut la nĂŽtre au cours des 37 annĂ©es qui prĂ©cĂšdent, la foi chrĂ©tienne telle quelle est professĂ©e aujourd’hui aura complĂštement disparue de la surface du globe. Sous quelle forme se manifestera alors la mission de JĂ©sus-Christ sur la Terre, voilĂ  qui est aussi peu prĂ©dictible qu’ cette situation de crise, vous conviendrez qu’il ne serait ni trĂšs logique, ni trĂšs rĂ©aliste, de chasser une multitude de chrĂ©tiens du refuge que la foi chrĂ©tienne leur donne, pour l’avantage trĂšs relatif de faire entrer un nombre de Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, proportionnellement dessein n’est pas de dĂ©noncer ici les conspirateurs qui se sont vouĂ©s Ă  la destruction de la foi chrĂ©tienne, ni de m’étendre sur la nature exacte ou sur l’étendue de cette conspiration. Cela demanderait la rĂ©daction de plusieurs ouvrages. L’histoire des derniers siĂšcles, et notamment les Ă©vĂ©nements des derniĂšres annĂ©es, confirment l’existence d’une telle conspiration, j’en ferai toute la preuve une autre fois. Un rĂ©seau mondial de conspirateurs diaboliques dĂ©ploie jour aprĂšs jour, avec la plus grande mĂ©thode, chacune des phases de son complot contre la foi chrĂ©tienne, alors que les chrĂ©tiens semblent dormir les poings fermĂ©s. Et le comble voyez-vous, c’est que le clergĂ© manifeste plus d’indiffĂ©rence Ă  cette conspiration que les chrĂ©tiens eux-mĂȘmes. On dirait que les prĂȘtres ne veulent qu’une seule chose enfouir leur tĂȘte le plus profond possible dans le sable de l’ignorance, comme l’autruche, qui selon la lĂ©gende, agirait ainsi Ă  l’approche du danger. Cette ignorance, ou cette indiffĂ©rence de la part du clergĂ©, a dĂ©jĂ  portĂ© un sĂ©rieux coup Ă  la foi chrĂ©tienne, duquel elle pourrait bien ne jamais se relever complĂštement, si tant est qu’elle puisse un jour se relever. C’est si triste de voir le clergĂ© chrĂ©tien collaborer Ă  l’anĂ©antissement de la foi oublier tout le respect que je dois Ă  l’autoritĂ© ecclĂ©siastique, et en toute humilitĂ©, je me retrouve avec une tĂąche bien difficile Ă  accomplir
 En effet, je voudrais dĂ©clarer ici publiquement que l’autoritĂ© ecclĂ©siastique est la principale, si ce n’est la seule responsable de la prĂ©sence de ces forces internes qui trahissent allĂšgrement les intĂ©rĂȘts de l’Église. Cette conclusion que je vous prĂ©sente, condense Ă  elle seule toutes les informations que j’ai pu rĂ©pertorier jusqu’à aujourd’hui. Mon cher Docteur Goldstein, si vous dĂ©sirez vraiment agir d’une maniĂšre constructive et rĂ©aliste, il va vous falloir mettre les pieds dans le plat », sans vous inquiĂ©ter des petits doigts en l’air et autres grincements de dents. C’est la seule stratĂ©gie qui nous reste si l’on veut Ă©viter de justesse le destin qui nous attend. Vous ne pouvez plus continuer Ă  minauder avec la vĂ©ritĂ©, sous prĂ©texte que la vĂ©ritĂ© blesse ceux qui vous connaissent, ou ceux que vous cette heure tardive, il ne nous reste que trĂšs peu de temps pour rĂ©parer la barriĂšre, si vous m’autorisez cette image champĂȘtre et prosaĂŻque. Nous ne pouvons plus nous permettre de perdre la moindre seconde. Tourner autour du pot » ne nous conduirait nulle part. Seuls des hommes courageux parviendront Ă  franchir la tempĂȘte qui approche. Et pour parler Ă  nouveau en figure, ou mĂȘme peut-ĂȘtre que cette fois-ci je l’entends littĂ©ralement Les hĂ©ros seront vivants, et les couards seront morts, lorsque la poussiĂšre de cette guerre ancestrale sera retombĂ©e » ; et non pas Les hĂ©ros seront morts, et les couards seront vivants », comme cela se produisait parfois, dans d’autres circonstances
Bien sĂ»r, cette confusion dans l’esprit des chrĂ©tiens Ă  propos des fondements de notre foi est tout Ă  fait injustifiĂ©e et ne repose sur rien de rĂ©el ; elle n’a aucune raison d’ĂȘtre, et elle n’existerait pas si l’autoritĂ© ecclĂ©siastique n’avait pas Ă©tĂ© la grande complice de toutes les supercheries qui la firent apparaĂźtre. Certes, je sais que des membres du clergĂ© pourraient ĂȘtre sincĂšrement blessĂ©s d’apprendre qu’ils ont Ă©tĂ© les complices des ennemis consacrĂ©s de la foi chrĂ©tienne, et je vous accorde que beaucoup de prĂȘtres sont leurs alliĂ©s sans le savoir ; mais cette ignorance est le plus gros obstacle Ă  une dĂ©fense constructive de la foi chrĂ©tienne contre ses ennemis chrĂ©tiens sans nombre, que leur ignorance du problĂšme Ă  pousser malgrĂ© eux sur la touche du champ de bataille, voient de jour en jour la foi chrĂ©tienne pourrir un peu plus sur la vigne, et se faisander au point de tomber toute seule dans le gosier avide de ses ennemis immĂ©moriaux. Les chrĂ©tiens observent ce spectacle, impuissants ; et la coupe qu’ils doivent boire est rendue plus amĂšre par la vue de l’indiffĂ©rence du clergĂ© censĂ© les conduire. Cette apathie du clergĂ©, livre Ă  ses agresseurs la foi chrĂ©tienne privĂ©e de toute dĂ©fense. Et leur attitude fuyante nous conduira inĂ©luctablement Ă  la dĂ©faite. Pour Ă©viter une reddition sans condition aux ennemis de toujours, le clergĂ© doit maintenant faire face sans le moindre dĂ©lai, s’il dĂ©sire sortir vainqueur dans ce combat idĂ©ologique invisible et intangible qui se livre sous son nez
 Quand va-t-il se rĂ©veiller ?JĂ©sus-Christ Ă©tait-Il Juif » ou JudĂ©en » ?Mon cher Docteur Goldstein, vous ĂȘtes un thĂ©ologien de prestige et un historien de marque, vous auriez donc dĂ» partager l’avis des plus grands spĂ©cialistes sur la prĂ©tendue judaĂŻcitĂ© » de JĂ©sus-Christ. Les plus grands spĂ©cialistes s’accordent aujourd’hui pour dire que le raisonnement ou l’insinuation suivant laquelle JĂ©sus Ă©tait juif », ne repose sur aucune base factuelle. Des faits historiques incontestables, ainsi qu’une profusion d’autres preuves, Ă©tablissent par delĂ  tous les doutes possibles l’absurditĂ© de cette phrase que l’on entend partout aujourd’hui JĂ©sus Ă©tait juif ».Sans redouter la moindre contradiction qui s’appuyĂąt sur des faits historiques, les spĂ©cialistes les plus qualifiĂ©s s’accordent sur ce point prĂ©cis que JĂ©sus-Christ n’était pas un Juif ». Ils pourront vous confirmer texte original Ă  l’appui, que pendant sa vie JĂ©sus-Christ Ă©tait dĂ©signĂ© comme un JudĂ©en » par ses contemporains, et non comme un Juif » ; ils vous diront Ă©galement que JĂ©sus-Christ Se dĂ©signait Lui-mĂȘme comme un JudĂ©en », et non comme un Juif ». Pendant son passage ici sur Terre, JĂ©sus fut dĂ©signĂ© par les historiens de l’antiquitĂ© comme un JudĂ©en », et non comme un Juif ». Tous les thĂ©ologiens de l’antiquitĂ©, dont la maĂźtrise de la question pourrait difficilement ĂȘtre mise en doute, dĂ©signent JĂ©sus-Christ pendant Sa vie, ici, sur Terre, comme un JudĂ©en », et non comme un Juif ».Maintenant mon cher Docteur Goldstein, ainsi que vous le savez, le mot latin Rex ne signifiait pas roi » initialement, mais chef d’une tribu », leader en anglais ; et aux temps de JĂ©sus-Christ, ce mot n’avait pas d’autre sens pour les JudĂ©ens qui connaissaient la langue latine. Le mot latin rex, vient du verbe latin rego, regere et signifie diriger, conduire, mener, ĂȘtre Ă  la tĂȘte de
 ». Évidemment, le latin Ă©tait la langue officielle dans toutes les provinces de l’Empire Romain, et c’est pourquoi l’inscription sur la croix fut rĂ©digĂ©e Ă©galement en aprĂšs leur invasion des Îles Britanniques, les Anglo-Saxons remplacĂšrent le mot latin rex, par le mot king. Mais le remplacement du mot rex par le mot king Ă  cette Ă©poque postĂ©rieure, ne modifie pas rĂ©troactivement le sens que les Romains donnaient au mot rex Ă  l’époque de JĂ©sus-Christ. Le latin rex signifiait simplement pour eux chef souverain », un leader. Le mot anglo-saxon king, avait d’ailleurs une graphie diffĂ©rente de celle d’aujourd’hui, lorsqu’il a remplacĂ© le mot latin rex, mais toutefois son sens Ă©tait encore Ă  peu prĂšs Ă©quivalent Ă  celui du Ponce Pilate, il Ă©tait bien Ă©vident que JĂ©sus-Christ Ă©tait la derniĂšre personne que les JudĂ©ens auraient acceptĂ©e comme chef de tribu ». MalgrĂ© cela, Ponce Pilate n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  ordonner cette inscription Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, et je rĂ©pĂšte que mĂȘme par le plus sauvage Ă©tirement de l’imagination, on ne peut soutenir que ces mots de Pilate furent autre chose qu’un misĂ©rable sarcasme. Par cette rĂ©fĂ©rence Ă  JĂ©sus-Christ comme chef des JudĂ©ens », ceux-ci auraient ourdi la crucifixion de leur chef l’époque de JĂ©sus-Christ, les Romains dĂ©signaient le territoire actuel de la Palestine sous le nom d’Iudaea. Cette province Ă©tait administrĂ©e par Ponce Pilate comme une partie intĂ©grante de l’Empire romain. La traduction française d’Iudaea est la JudĂ©e ». Le seul adjectif français que l’on puisse construire sur ce nom latin d’Iudaea est JudĂ©en », et non pas Juif ». Ainsi, la population qui vivait Ă  l’emplacement de la zone gĂ©ographique connue actuellement sous le nom de Palestine, Ă©tait dĂ©signĂ©e en latin, Ă  l’époque de JĂ©sus-Christ, par le mot Iudaeus les JudĂ©ens ». À strictement parler, ce mot ne dĂ©signait rien d’autre que les habitants vivant Ă  l’intĂ©rieur des frontiĂšres de la JudĂ©e Ă  cette Ă©poque. Or qui pourrait nier que JĂ©sus-Christ ne fut, Lui aussi, un habitant de la JudĂ©e de cette Ă©poque ?Or vous savez trĂšs bien, mon cher Docteur Goldstein, que le gĂ©nitif pluriel du latin Iudaeus est Iudaeorum. Et que la traduction française littĂ©rale du gĂ©nitif pluriel Iudaeorum, devrait ĂȘtre des JudĂ©ens », et non pas des Juifs ». Il est complĂštement impossible de donner une autre traduction littĂ©rale au latin Iudaeorum. C’est pourquoi comme je vous le disais, tous les thĂ©ologiens et les historiens, qui maĂźtrisent bien ce problĂšme, savent qu’il faut traduire Iesus Nazarenus rex Iudaeorum par JĂ©sus le NazarĂ©nien chef souverain des JudĂ©ens ». Vous devez tomber d’accord sur cher Docteur Goldstein, ouvrez bien vos oreilles, car nous arrivons maintenant au cƓur du problĂšme il n’existe aucun fondement historique qui nous permette de dire que le mot grec ioudaiwj, le mot latin Iudaeus, ou le mot français JudĂ©ens », aient jamais possĂ©dĂ© la moindre connotation religieuse !Dans leurs langues respectives, ces mots n’ont toujours revĂȘtu qu’une simple connotation gĂ©ographique. Ces mots Ă©taient utilisĂ©s pour identifier les habitants qui Ă©taient nĂ©s dans le territoire de la JudĂ©e. Et Ă  l’époque de JĂ©sus-Christ, il n’existait aucun culte religieux en JudĂ©e ou ailleurs dont le nom ait la mĂȘme racine que le mot JudĂ©e », comme c’est par contre le cas pour le culte religieux dĂ©nommĂ© judaĂŻsme ». Aucun culte, ni aucune secte ne portait le nom de judaĂŻsme ».Personne ne pourra contredire le fait que le mot Jew Juif n’existait pas dans la langue anglaise avant l’annĂ©e premiĂšre acception Ă©crite du mot Jew en langue anglaise, nous a Ă©tĂ© laissĂ©e au XVIIIe siĂšcle par Sheridan dans sa piĂšce de théùtre Les Rivaux. Dans l’Acte 2, scĂšne 1 de cette piĂšce, nous lisons Elle aura la peau d’une momie, et la barbe d’un Juif ». Avant cette utilisation du mot Jew faite par Sheridan, ce mot n’existait pas dans notre langue. Ainsi, Shakespeare ne l’employa dans aucune de ses piĂšces, comme vous pourrez le vĂ©rifier vous-mĂȘme. Certes, dans le Marchand de Venise, acte 5 scĂšne 3, il est bien question d’un Juif ». Mais pour ce passage prĂ©cis, l’édition originale nous donne Et pourquoi ? Je suis un Iewe, et un Iewe n’a-t-il pas d’yeux ? ».Dans la Vulgate, JĂ©sus est dĂ©signĂ© comme l’un des JudĂ©ens », grĂące au gĂ©nitif pluriel Iudaeorum. JĂ©sus est dĂ©signĂ© pour la premiĂšre fois par le mot Jew au XVIIIe siĂšcle, dans l’édition rĂ©visĂ©e de la premiĂšre traduction anglaise du Nouveau Testament qui remontait au XIVe siĂšcle. L’étymologie du mot Jew dans la langue anglaise, ne laisse aucun doute sur le fait que le mot Jew du XVIIIe siĂšcle provient directement du mot Iudaean de la Vulgate. Les manuscrits allant du IVe au XVIIIe siĂšcle, retracent prĂ©cisĂ©ment l’évolution du mot Iudaean dans la langue anglaise. Dans ces manuscrits, on trouvera que la langue anglaise Ă  connu un trĂšs grand nombre d’équivalents au mot Jew, tout au long de son histoire. Depuis le latin Iudaeus jusqu’à l’anglais moderne Jew, on rencontre successivement Gyu, Giu, Iu, Iuu, Iuw, Ieuu, Ieuy, Iwe, Iow, Iewe, Ieue, leue, Iue, Ive, lew, et finalement au XVIIIe siĂšcle Jew. Et pour le pluriel on a Giwis, Giws, Gyues, Gywes, Giwes, Geus, Iuys, Iows, Iouis, Iews, et finalement au XVIIIe siĂšcle XVIIIe siĂšcle, les presses typographiques s’étaient grandement amĂ©liorĂ©es, et on imprima des quantitĂ©s illimitĂ©es du Nouveau Testament. Ces Ă©ditions rĂ©visĂ©es, qui se basaient encore toutes sur la premiĂšre Ă©dition en langue profane du XIVe siĂšcle, furent largement distribuĂ©es dans tout le monde anglophone, et de nombreuses familles qui n’avaient jamais possĂ©dĂ© de Bible, ont pu en acquĂ©rir une qui soit rĂ©digĂ©e dans la langue qu’ils parlaient tous les jours. C’est dans cette Ă©dition rĂ©visĂ©e que le mot Jew apparaĂźt pour la premiĂšre fois. Et grĂące Ă  l’importance du tirage, la forme Jew s’est dĂ©finitivement imposĂ©e dans la langue que vous le savez, mon cher Docteur Goldstein, les Ă©ditions les plus connues du Nouveau Testament en langue anglaise sont la Rheims Douai Edition, et la King James Authorized Edition. La premiĂšre traduction du Nouveau Testament en anglais de la Rheims Edition date de 1582, et conformĂ©ment Ă  ce qui a Ă©tĂ© dit, le mot Jew ne s’y trouve pas. De mĂȘme pour la premiĂšre traduction en anglais du Nouveau Testament de la King James Authorized Edition de 1611. Le mot Jew ne fit son apparition, dans ces deux Ă©ditions les plus connues du Nouveau Testament, que dans leurs Ă©ditions rĂ©visĂ©es du XVIIIe nombre incalculable de ces Ă©ditions sorties des presses typographiques a circulĂ© parmi le clergĂ© et les laĂŻcs de tout le monde anglophone ; mais parmi ces personnes, trĂšs peu ne connaissaient ou ne se prĂ©occupaient de l’étymologie exacte du mot Jew, qu’ils dĂ©couvraient pour la premiĂšre fois. Ils acceptĂšrent donc naturellement le mot Jew comme la traduction officielle du latin Iudaeus et du grec ioudaiwv. Il s’agissait simplement d’un mot nouveau pour cher Docteur Goldstein, comme vous le savez dĂ©jĂ , la langue anglaise est largement composĂ©e de mots empruntĂ©s Ă  des langues Ă©trangĂšres. AprĂšs leur adoption par la langue anglaise, ces mots Ă©trangers subissent diverses adaptations et contractions de leur orthographe, afin de les rendre plus aisĂ©ment prononçables dans le systĂšme phonĂ©tique anglais. Ce procĂ©dĂ© d’adoption de mots Ă©trangers, puis de leur adaptation, est Ă  l’origine de nombreux mots nouveaux, tels que le mot cab, qui nous vient du français cabriolet ». Et nous pourrions trouver des milliers d’exemples comme celui-ci. Vous devez dĂ©jĂ  en avoir des dizaines sur le bout des par ce procĂ©dĂ© naturel d’adoption-adaptation, que le latin Iudaeus et le grec ioudaiwv ont fini par donner le mot Jew que nous connaissons. Ainsi, les anglophones auront dĂ» se battre pendant 14 siĂšcles avant de trouver la prononciation et l’orthographe qui leur convienne, pour l’adoption du mot latin mots Iudaeus et ioudaiwv ne pouvant se prononcer facilement en anglais, il a donc fallu forger un mot derniĂšre confirmation, je vous citerais l’édition Wyclife de la Bible de 1380, la toute premiĂšre traduction de la Vulgate en anglais. Dans cette Ă©dition, JĂ©sus est dĂ©signĂ© comme l’un des Iewes », car telle Ă©tait la version anglaise du latin Iudaeus au XIVe siĂšcle, et elle se prononçait HHHYOU-WIIIZ » au pluriel, le singulier Iewe se prononçait HHHYOU-WIII ». Pour le verset de Jean 1919, on lit dans cette Ă©dition Ihesus of nazareth kyng of the iewes ». Avant le XIVe siĂšcle, la langue anglaise s’était dotĂ©e d’un grand nombre de mots anglo-saxons, dont le mot kyng, qui avait la mĂȘme signification que le latin rex et que le grec basileuv, c’est-Ă -dire, celle de chef de tribu ».Les sens dĂ©rivĂ©s du mot Juif »Mon cher Docteur Goldstein, si le mot Juif » et le mot JudĂ©en » dĂ©signaient une chose identique, comme cela devrait ĂȘtre le cas si l’on se basait uniquement sur leurs Ă©tymologies respectives, soyez bien persuadĂ© que je ne me serais pas lancĂ© dans toutes ces fastidieuses Ă©numĂ©rations, et que l’emploi de l’un ou de l’autre pour dĂ©signer JĂ©sus-Christ dans le Nouveau Testament ou ailleurs, me serait parfaitement Ă©gal. Mais voilĂ , dans l’esprit des gens, ce que dĂ©signe le mot JudĂ©en », et ce que dĂ©signe le mot Juif », sont deux idĂ©es aussi Ă©loignĂ©es l’une de l’autre que le blanc l’est du pendant les XVIIIe, XIXe, et XXe siĂšcles, un groupe de pression international, trĂšs bien organisĂ© et trĂšs bien financĂ©, a gĂ©nĂ©rĂ© un sens dĂ©rivĂ© au mot Juif ». Et ce sens dĂ©rivĂ©, profondĂ©ment implantĂ© dans l’esprit des gens, n’a plus rien Ă  voir avec le sens que le mot Juif » Jew avait au XVIIIe siĂšcle. Ce nouveau sens est le rĂ©sultat d’une dĂ©formation sens dĂ©rivĂ© du mot Juif » a aujourd’hui autant de points communs avec son sens initial, que le sens du mot Coca, par exemple, a de points communs avec le sens initial du mot coca. Le sens dĂ©rivĂ© du mot Coca correspond Ă  la boisson gazeuse ainsi dĂ©nommĂ©e, mais son sens initial est celui d’un arbuste d’AmĂ©rique du le rĂ©sultat d’une quantitĂ© astronomique d’argent, dĂ©pensĂ©e dans des campagnes publicitaires d’envergure mondiale. Aujourd’hui, si vous dites Ă  l’un de vos amis passe-moi une Camel », il n’ira jamais vous chercher un chameau. De mĂȘme que si vous lui demandez un Coca », il n’ira jamais vous dĂ©terrer un arbuste en AmĂ©rique du Sud. Ainsi, les sens dĂ©rivĂ©s parviennent Ă  Ă©clipser presque complĂštement le sens correct et initial des mots dans l’esprit des gens. Et le sens dĂ©rivĂ© du mot Jew aujourd’hui ne fait pas exception, il a pratiquement Ă©clipsĂ© le sens correct et initial du mot Jew, lorsque celui-ci a Ă©tĂ© introduit dans la langue anglaise, au XVIIIe trois siĂšcles, une campagne mondiale abondamment financĂ©e et prĂ©cisĂ©ment minutĂ©e, ayant Ă  son actif tous les mĂ©dias disponibles du monde entier, a dĂ©veloppĂ© un sens secondaire au mot Juif », qui a fini par oblitĂ©rer totalement le sens correct et initial du mot Juif ». Il n’y a pas l’ombre d’un doute Ă  ce une seule personne dans tout le monde anglophone, ne considĂšre encore aujourd’hui un Juif » comme un JudĂ©en » au sens littĂ©ral. Alors que c’était le seul sens de ce mot au XVIIIe siĂšcle. Dans l’esprit des gens, le mot Juif » fait maintenant rĂ©fĂ©rence Ă  un ensemble de cinq thĂ©ories qui sont universellement admises Un Juif » est une personne qui professe la religion du judaĂŻsme. » Un Juif » est une personne qui appartient Ă  un groupe racial liĂ© aux anciens SĂ©mites. » Un Juif » est une personne dont les ancĂȘtres appartenaient Ă  une nation qui prospĂ©rait aux temps bibliques dans la zone gĂ©ographique de la Palestine les IsraĂ©lites, ou les HĂ©breux. » Un Juif » est une personne qui bĂ©nĂ©ficie de par son origine d’une sorte d’élection divine, et qui prĂ©sente de part son histoire des caractĂ©ristiques culturelles supĂ©rieures, dont les autres races sont dĂ©pourvues. » Un Juif » est Juif » tout Ă  la fois par sa race, sa religion et son identitĂ© nationale. » Cependant, sachez que tous les sous-entendus qui se cachent maintenant derriĂšre le mot Juif », sont petit Ă  petit replacĂ©s dans leur juste perspective par un nombre croissant de chrĂ©tiens sensĂ©s dans ce pays
 De tels chrĂ©tiens savent que ces sous-entendus sont en contradiction flagrante avec des faits historiques certains. Depuis longtemps dĂ©jĂ , les chrĂ©tiens qui ne tolĂšrent plus qu’on les prenne pour des imbĂ©ciles, soupçonnent la hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique qui lui rĂ©gurgite Ă  longueur de dimanche son cantique prĂ©fĂ©rĂ© JĂ©sus Ă©tait juif », JĂ©sus Ă©tait juif », et Marie
 Ă©tait juive ! ». Leur litanie commence mĂȘme Ă  friser la nombre incalculable de chrĂ©tiens comprend que le clergĂ© leur a fait subir un vĂ©ritable lavage de cerveau, en les matraquant systĂ©matiquement par cette phrase JĂ©sus Ă©tait juif, alors vous comprenez
 ». Les chrĂ©tiens ne veulent dĂ©sormais entendre qu’une seule chose de la part du clergĂ© la vĂ©ritĂ©, toute la vĂ©ritĂ©, et rien que la vĂ©ritĂ© ».Il est urgent maintenant que le clergĂ© dise aux chrĂ©tiens ce qu’il aurait dĂ» leur dire depuis longtemps ; car de tous les groupes religieux du monde, les chrĂ©tiens sont les moins informĂ©s sur ces questions qui les concernent pourtant de trĂšs prĂšs
 La hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique aurait-elle fait quelques compromis avec la vĂ©ritĂ© ?Les chrĂ©tiens intelligents n’admettent plus comme parole d’Évangile l’assertion sans fondement selon laquelle JĂ©sus, pendant sa vie en JudĂ©e, ait appartenu Ă  un groupe qui pratiquait le culte religieux connu aujourd’hui sous le nom de judaĂŻsme ». Ils ne croient pas non plus que JĂ©sus-Christ, pendant sa vie, ici sur Terre, ait appartenu Ă  la mĂȘme communautĂ© raciale que la grande majoritĂ© des Juifs » d’aujourd’hui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s ; ni que ces Juifs » d’aujourd’hui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s soient les descendants de ce peuple qui vivait en JudĂ©e et auquel JĂ©sus-Christ hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique va bientĂŽt s’apercevoir que la vĂ©ritĂ© n’est pas une folie, ni l’ignorance une bĂ©nĂ©diction. Partout et de plus en plus, les chrĂ©tiens cherchent fiĂ©vreusement Ă  apprendre la relation vĂ©ritable qui existe entre les habitants de la JudĂ©e de l’époque de JĂ©sus-Christ, et les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s du monde actuel. Les chrĂ©tiens veulent que la hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique leur dise tout ce qu’elle sait sur le contexte racial, religieux, national et culturel des Juifs » du monde actuel prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s et sur quelles bases la hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique se fonde pour affirmer que le contexte racial, religieux, national et culturel des Juifs » d’aujourd’hui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s est le mĂȘme que celui que connaissait JĂ©sus-Christ pendant Sa vie. Les chrĂ©tiens qui s’informent savent dĂ©sormais que le mythe selon lequel les Juifs » d’aujourd’hui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s seraient les descendants des JudĂ©ens parmi lesquels vivait JĂ©sus, n’est plus dĂ©sormais qu’un mythe explosĂ© » Les chrĂ©tiens comprennent Ă©galement de mieux en mieux pourquoi les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s ont dĂ©pensĂ© pendant trois siĂšcles des sommes colossales pour forger la fiction selon laquelle JĂ©sus Ă©tait juif », dans le sens dĂ©rivĂ© du mot. Les chrĂ©tiens sont de plus en plus conscients de tous les avantages Ă©conomiques et politiques que les Juifs » ont directement tirĂ© de cette fiction selon laquelle JĂ©sus Ă©tait juif », dans le sens dĂ©rivĂ© du terme. Les chrĂ©tiens ont compris que les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s voulaient ainsi nous faire croire qu’ils avaient de nombreuses affinitĂ©s avec JĂ©sus-Christ, le fondateur de notre religion ; et ils cherchent en permanence Ă  entretenir cette fiction dans nos pratiquait-Il la forme de religion qui allait donner la judaĂŻsme ?PrĂ©tendre que JĂ©sus Ă©tait juif » dans le sens oĂč il aurait professĂ© une forme de religion voisine du judaĂŻsme actuel, est une fiction des plus blasphĂ©matoires. Si pour ĂȘtre Juif » Ă  cette Ă©poque comme Ă  la nĂŽtre, la pratique du judaĂŻsme est une condition nĂ©cessaire, alors il est bien Ă©vident que JĂ©sus-Christ n’était pas Juif ». JĂ©sus dĂ©testait et condamnait la forme de culte religieux qui se pratiquait en JudĂ©e Ă  son Ă©poque, et qui est aujourd’hui connue et pratiquĂ©e sous le nom de judaĂŻsme ». Cette pratique religieuse se faisait alors connaĂźtre sous le nom de pharisaĂŻsme ».Le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein, qui prĂ©side le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive institution que l’on dĂ©signe souvent comme le Vatican du judaĂŻsme », est l’auteur de l’ouvrage Les Pharisiens, Mouvement religieux, contexte sociologique de leur apparition, titre qui est devenu un classique dans le monde entier. le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous dit Le pharisaĂŻsme devint le talmudisme, le talmudisme devint le rabbinisme mĂ©diĂ©val, et le rabbinisme mĂ©diĂ©val devint le rabbinisme moderne. Mais au travers de tous ces changements de nom l’esprit des anciens pharisiens est demeurĂ© le mĂȘme De Palestine jusqu’en Babylonie, de Babylonie jusqu’en Afrique du Nord, puis en Italie, en Espagne, en France, et en Allemagne, puis de lĂ , en Pologne, en Russie, et dans toute l’Europe orientale, l’ancien pharisaĂŻsme a continuĂ© son voyage, ce qui dĂ©montre son importance en tant que l’une des grandes religions du monde. »Dans ce grand classique, le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous retrace toute l’histoire du judaĂŻsme, en partant du pharisaĂŻsme pratiquĂ© en JudĂ©e au temps de JĂ©sus. Le rabbin Louis Finkelstein y confirme ce que nous disait dĂ©jĂ  l’éminent rabbin Adolphe Moses, dans son plus grand classique Le Yahvisme, et autres discours, rĂ©digĂ© en collaboration avec le cĂ©lĂšbre rabbin H. G. Enlow, et publiĂ© en 1903 par la section de Louisville du Conseil des Femmes IsraĂ©lites. Dans cet ouvrage, le rabbin Adolphe Moses nous dĂ©clare Parmi tous les malheurs qui sont advenus, celui dont les consĂ©quences furent les plus regrettables, est l’invention du mot judaĂŻsme ».Pire encore, les Juifs eux-mĂȘmes en sont venus Ă  dĂ©signer leur propre religion sous le nom de judaĂŻsme », alors que ni dans la Bible, ni dans les Ă©crits postĂ©rieurs, ni dans le Talmud, il n’est fait une seule fois mention de ce terme. La Bible parle de la Torah Yahweh, de l’instruction », ou de la loi morale rĂ©vĂ©lĂ©e par Yahweh », ou encore en d’autres lieux de Yirath Yahweh la crainte de Yahweh ». Ce sont ces appellations qui furent employĂ©es au cours des Ăąges au sein de notre religion. Toutefois, pour la distinguer du christianisme et de l’islam, les philosophes juifs la dĂ©signent parfois comme la foi des Juifs ».Mais c’est Flavius JosĂšphe qui a inventĂ© le terme de judaĂŻsme pour pourvoir Ă  l’instruction des Grecs et des Romains sur cette question, et de maniĂšre Ă  distinguer cette religion de l’hellĂ©nisme. Par le mot hellĂ©nisme », il faut comprendre toute la civilisation, y compris la langue, la poĂ©sie, la religion, l’art, la science, les maniĂšres, la coutume, et les institutions , qui s’étaient rĂ©pandues depuis la GrĂšce, foyer originel, jusqu’aux vastes rĂ©gions d’Europe, d’Asie et d’ sĂ»r, les chrĂ©tiens s’emparĂšrent avidement du mot, pendant que les Juifs, qui dĂ©testaient profondĂ©ment le traĂźtre Flavius JosĂšphe, refusaient tout simplement de lire ses Ă©crits. C’est pourquoi le terme de judaĂŻsme », inventĂ© par Flavius JosĂšphe, resta complĂštement inconnu des Juifs, et ne fut utilisĂ© par eux qu’à une Ă©poque relativement rĂ©cente ; aprĂšs que les Juifs eussent commencĂ© Ă  lire des ouvrages chrĂ©tiens. C’est pourquoi ils se mirent eux aussi, Ă  appeler leur religion “judaĂŻsme”. »Citations des deux plus grands spĂ©cialistes mondiaux sur ce sujet, Ă©tablissent Ă  la fois que le judaĂŻsme » ne fut jamais le nom d’aucun culte religieux pratiquĂ© en JudĂ©e aux temps de JĂ©sus Flavius JosĂšphe vivant au premier siĂšcle de notre Ăšre, et que le culte pratiquĂ© aujourd’hui par les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s descend directement du pharisaĂŻsme. Je n’invente rien, c’est exactement ce que nous apprend le rabbin Louis Finkelstein, qui prĂ©side le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive, et c’est ce que vous diront Ă©galement tous les spĂ©cialistes de cette pharisaĂŻsme de JudĂ©e, au temps de JĂ©sus-Christ, est une pratique religieuse se basant essentiellement sur les enseignements qui allaient constituer le Talmud
 Pour ceux qui pratiquent le judaĂŻsme, le Talmud reprĂ©sente Ă  peu prĂšs la mĂȘme chose que ce que la Grande Charte, la DĂ©claration d’IndĂ©pendance, la Constitution, et le Bill of Rights, reprĂ©sentent pour nous. Le Talmud est sur un mĂȘme piĂ©destal pour ceux qui professent le en revanche, le Talmud exerce une vĂ©ritable dictature sur la vie des Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s ; une dictature qui pourrait avoir Ă©tĂ© empruntĂ©e au totalitarisme le plus noir. Les rabbins ne font d’ailleurs guĂšre d’efforts pour dissimuler le contrĂŽle qu’ils exercent sur la vie intime des Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s.Cette autoritĂ© va bien au-delĂ  des limites habituelles du domaine spirituel. À ma connaissance, leur pouvoir sur les gens ne connaĂźt pas d’égal. Le rĂŽle jouĂ© par le Talmud dans le judaĂŻsme tel qu’il est pratiquĂ© aujourd’hui, est officiellement dĂ©fini par le trĂšs rĂ©vĂ©rĂ© rabbin Morris N. Kertzer, le Directeur du DĂ©partement des Relations Inter Religieuses, au sein du ComitĂ© IsraĂ©lite d’AmĂ©rique du Nord, et qui prĂ©side Ă©galement l’Association des AumĂŽniers IsraĂ©lites des Forces ArmĂ©es des États-Unis. Le rabbin Morris N. Kertzer, qui est actuellement le spĂ©cialiste le plus qualifiĂ© du judaĂŻsme, nous dit Le Talmud est constituĂ© de 63 livres. Ces livres sont la compilation d’écrits lĂ©gislatifs, Ă©thiques et historiques, rĂ©digĂ©s par les anciens rabbins. Il a Ă©tĂ© Ă©crit cinq siĂšcles aprĂšs la naissance de JĂ©sus. C’est un recueil de lois et de traditions. Il reprĂ©sente le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive, et c’est le livre qui est utilisĂ© pour la formation des rabbins. »Eh bien, mon cher Docteur Goldstein, compte tenu de ce jugement trĂšs officiel sur l’importance du Talmud dans la pratique du judaĂŻsme actuel, peut-ĂȘtre y aurait-il un intĂ©rĂȘt quelconque Ă  ce que les chrĂ©tiens se demandassent ce qu’il peut bien contenir, ne croyez-vous pas ?Qu’est-ce que le Talmud ?Mon cher Docteur Goldstein, si vous rassembliez tous les Ă©crits de tous les auteurs de tous les temps, qui de prĂšs ou de loin mentionnĂšrent la personne de JĂ©sus-Christ, ou firent allusion aux chrĂ©tiens ou Ă  la foi chrĂ©tienne, vous ne trouverez jamais de plus exĂ©crables insultes, ni de blasphĂšmes plus odieux que ceux qui jalonnent les pages de ces 63 livres du Talmud, texte qui est, nous dit-on, le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive », tout comme le livre qui est utilisĂ© pour la formation des rabbins ». La lecture du Talmud dans le texte, va vous ouvrir les yeux comme jamais ils ne l’ont Ă©tĂ© auparavant. Le Talmud couvre d’opprobre la personne de mots que vous allez lire sont fonciĂšrement indĂ©cents, obscĂšnes, vils, et orduriers, et je vous en prĂ©sente mes excuses par avance, mais ce sont des citations mot pour mot de la traduction intĂ©grale officielle du Talmud. PrĂ©parez-vous Ă  une 1935, les grands pontes du rabbinisme international, dĂ©cidĂšrent pour la premiĂšre fois dans toute l’histoire du judaĂŻsme de publier une traduction intĂ©grale officielle et annotĂ©e des 63 livres du Talmud dans une langue profane, et ils choisirent bien Ă©videmment la langue anglaise. Quelle force a bien pu les conduire Ă  commettre une telle faute stratĂ©gique, cela restera l’un des mystĂšres de l’histoire humaine
 Peut-ĂȘtre sous-estimĂšrent-ils tout simplement le risque, et qu’ils n’entreprirent cette traduction que parce qu’un si grand nombre de Juifs » de la nouvelle gĂ©nĂ©ration prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels sont absolument incapables de comprendre les diffĂ©rentes langues utilisĂ©es dans la rĂ©daction originale du traduction intĂ©grale officielle et annotĂ©e du Talmud en langue anglaise parut en 1935 chez Soncino Press. Elle a toujours Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e depuis comme l’Édition Soncino du Talmud. Elle ne fut Ă©videmment tirĂ©e qu’à un nombre trĂšs restreint d’exemplaires et ne fut pas non plus proposĂ©e Ă  la vente pour le grand public. J’ai eu la chance d’avoir accĂšs Ă  un exemplaire de cette Ă©dition pendant de nombreuses annĂ©es ; car aujourd’hui tous les exemplaires sont devenus de prĂ©cieux objets de mon cher Docteur Goldstein, j’ai bien peur de ne plus pouvoir attendre pour faire place ici, Ă  des citations scrupuleusement exactes de l’Édition Soncino. Mes commentaires pour en souligner l’énormitĂ© seront superflus, vous le verrez trĂšs vite. Je n’éprouve pas trop de scrupules Ă  vous faire parvenir de telles obscĂ©nitĂ©s par la poste, car l’Édition Soncino du Talmud ne figure pas sur la liste des envois interdits, je me suis renseignĂ© auprĂšs du bureau fĂ©dĂ©ral. Quoi qu’il en soit, je vous prĂ©sente Ă  nouveau mes excuses pour ces termes, que la nĂ©cessitĂ© seule me force Ă  mettre sous vos yeux. Je pense que vous allez me 55b-55a Qu’a-t-il Ă©tĂ© dit par-lĂ  — Rab a dit “La pĂ©dĂ©rastie avec un enfant qui a moins de neuf ans, n’est pas Ă  considĂ©rer comme la pĂ©dĂ©rastie avec un enfant plus ĂągĂ©.” Samuel a dit “La pĂ©dĂ©rastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas Ă  considĂ©rer de la mĂȘme maniĂšre que la pĂ©dĂ©rastie avec un enfant plus ĂągĂ©.” Quelle est la base de leur dĂ©saccord ? – Rab soutient que seul un sujet passif qui pourrait ĂȘtre capable d’avoir des rapports sexuels en tant que sujet actif, peut rendre coupable le sujet actif ; tandis qu’un enfant incapable d’ĂȘtre un sujet actif, ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le sujet passif d’un acte de pĂ©dĂ©rastie Samuel soutient quant Ă  lui que l’Écriture dit “Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme”Il a donc Ă©tĂ© enseignĂ©, conformĂ©ment Ă  l’avis de Rab, que le crime de pĂ©dĂ©rastie n’est qualifiĂ© qu’à partir de neuf ans et un jour ; mais celui qui commet la bestialitĂ©, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, ou bien une femme qui fait en sorte d’ĂȘtre abusĂ©e d’une maniĂšre bestiale, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, est passible de chĂątiment. »On se place ici du point de vue du sujet passif de la sodomie. Ainsi qu’il a Ă©tĂ© Ă©tabli plus haut, la culpabilitĂ© est encourue par le sujet actif de la sodomie, mĂȘme si le sujet passif est un mineur rappel moins de treize ans. Cependant, une nouvelle distinction va ĂȘtre faite maintenant pour les sujets passifs ayant moins de treize ansRab place le minimum Ă  neuf ans ; mais si la sodomie est pratiquĂ©e sur un enfant plus jeune, aucune culpabilitĂ© n’est encourue. Samuel, lui, fait de trois ans le minimum. À neuf ans, un enfant mĂąle a atteint la maturitĂ© XVIII, depuis “Un enfant mĂąle ĂągĂ© de neuf ans et un jour qui commet
” Nous observons ainsi trois clauses distinctes dans cette Baraitha. La premiĂšre “Un enfant mĂąle ĂągĂ© de neuf ans et un jour” concerne le sujet passif de la pĂ©dĂ©rastie, la peine est alors encourue par le sujet actif adulte. Tel doit ĂȘtre le sens profond ici, car d’une part, le sujet actif n’est jamais explicitement dĂ©signĂ© comme Ă©tant de sexe masculin, cela doit se comprendre spontanĂ©ment, exactement comme on le comprend spontanĂ©ment lorsque la Bible dit “Tu ne coucheras pas avec un homme
” oĂč seul le sexe du sujet actif est stipulĂ© ; et d’autre part, si l’ñge de rĂ©fĂ©rence avait Ă©tĂ© celui du sujet actif, la culpabilitĂ© Ă©tant alors encouru par un sujet passif adulte, pourquoi alors avoir fait un cas prĂ©cis du crime de pĂ©dĂ©rastie ? Puisque dans tout crime d’inceste commis par l’enfant, le sujet adulte passif n’encourt aucune culpabilitĂ©, Ă  moins bien sĂ»r, que l’enfant ait atteint l’ñge de neuf ans et un jour. C’est pourquoi cette Baraita a retenu l’affirmation de Rab selon laquelle le sujet adulte est condamnable, quand le sujet passif a plus de neuf ans et un jour. »Avant de continuer, je voudrais Ă©galement attirer votre attention sur un autre article. Confirmant la dĂ©claration officielle du rabbin Morris N. Kertzer. Le New York Times du 20 mai de cette annĂ©e a publiĂ© un article intitulĂ© Les rabbins projettent de rĂ©unir des fonds pour la crĂ©ation de deux chaires » ;L’article commence de la façon suivante Annonce spĂ©ciale pour le New York Times, Uniontown, Pa. – Un projet pour collecter 500 000 $ pour la crĂ©ation de deux chaires au SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive d’AmĂ©rique a Ă©tĂ© annoncĂ© aujourd’hui lors de la 54e convention annuelle de l’AssemblĂ©e des Rabbins d’AmĂ©rique. Les deux chaires porteront ce nom CHAIRES LOUIS GINSBERG, CONNAISSANCE DU TALMUD. »Ceci pour apporter une preuve supplĂ©mentaire que le Talmud n’est pas restĂ© lettre morte pour la formation des rabbins d’aujourd’hui. En voulez-vous une autre confirmation ?La voici les spĂ©cialistes mondiaux du Talmud confirment que l’Édition Soncino est une traduction trĂšs fidĂšle et qu’elle suit presque mot Ă  mot le texte original. Dans l’Histoire du Talmud, Ă©crite en collaboration avec le cĂ©lĂšbre Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson dĂ©clare encore Comme conclusion de ce premier volume, nous voudrions inviter le lecteur Ă  jeter un coup d’Ɠil en arriĂšre sur tout le passĂ© du Talmud, il verra que non seulement le Talmud n’a pas Ă©tĂ© dĂ©truit, mais que pas mĂȘme une seule lettre n’en est tombĂ©e, et qu’aujourd’hui il s’épanouit Ă  un degrĂ© jamais rencontrĂ© dans toute son histoire. Le Talmud est l’une des merveilles du monde. À travers les 20 siĂšcles de son existence il a survĂ©cu dans son intĂ©gralitĂ©, et non seulement ses ennemis n’ont pas rĂ©ussi Ă  en dĂ©truire une seule ligne, mais encore ils n’ont pas mĂȘme Ă©tĂ© capables d’en diminuer le rayonnement Ă  une Ă©poque Talmud domine toujours les esprits d’un peuple entier, qui vĂ©nĂšre son contenu comme vĂ©ritĂ© divine . Des Ă©coles destinĂ©es Ă  l’enseignement du Talmud apparaissent et se multiplient dans presque chaque ville oĂč IsraĂ«l est prĂ©sent, et particuliĂšrement dans ce pays oĂč des millions sont collectĂ©s pour les caisses de deux universitĂ©s le Hebrew Union College de Cincinnati, et le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive d’AmĂ©rique de New York, et dans lesquelles l’objet d’étude principal n’est autre que le Talmud. Il existe Ă©galement dans notre ville des maisons d’étude Jeshibath pour apprendre le Talmud dans les quartiers de l’East Side, et oĂč de nombreux jeunes Ă©tudient quotidiennement le Talmud. »Cette vĂ©ritĂ© divine » que vĂ©nĂšre tout un peuple » et de laquelle pas une seule lettre n’est tombĂ©e », et qui aujourd’hui s’épanouit Ă  un degrĂ© jamais rencontrĂ© dans toute son histoire », s’illustre parfaitement par cette nouvelle citation mot pour mot SANHÉDRIN, 55b Une petite fille de trois ans et un jour peut ĂȘtre acquise en mariage par coĂŻt, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frĂšre de son mari, elle devient Ă  lui. Une telle fille est considĂ©rĂ©e comme femme mariĂ©e, on peut se rendre coupable d’adultĂšre Ă  travers elle ; car elle peut souiller l’homme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait Ă  son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vĂȘtement qu’on se passe cas de blennorragie. »KETHUBOTH, 11a-11b Rabba a dit que ça voulait dire ceci “Quand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce n’est rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas-lĂ  , c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’Ɠil ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, c’est un cas Ă©quivalent Ă  celui oĂč “ une fille est pĂ©nĂ©trĂ©e par un morceau de bois”.Lit., “ça disait ceci”Lit., “qu’ici”, c’est-Ă -dire, quand elle a moins de trois ans. Les larmes reviennent toujours dans les yeux, de mĂȘme, la virginitĂ© d’une petite fille qui n’a pas encore trois ans revient toujours. »ABODAH ZARAH, 36b-37a Rabbi Naham ben Isaac a dit “Au sujet des enfants paĂŻens, ils dĂ©crĂ©tĂšrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par l’émission de leur sperme, et qu’un enfant israĂ©lite ne devait donc pas prendre l’habitude de commettre des actes de pĂ©dĂ©rastie avec ces animaux. À partir de quel Ăąge un enfant paĂŻen dĂ©clenche-t-il la souillure par l’émission de son sperme ? À partir de neuf ans et un jour. DĂšs lors qu’il est capable de l’acte sexuel, il souille en rĂ©pandant son sperme.” Rabina a dit “Il faut donc conclure qu’une petite fille paĂŻenne souille depuis l’ñge de trois ans et un jour, attendu qu’elle est alors capable de participer Ă  l’acte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par l’intermĂ©diaire de ses humeurs vaginale.”Bien que l’enfant paĂŻen ne souffrit d’aucun Ă©coulement sĂ©minal. »YEBAMOTH, 55b Ne sont pas passibles, les rapports sexuels avec une femme mariĂ©e effectuĂ©s avec un membre mou. Ce qui nous permet de conserver une interprĂ©tation en accord avec ceux qui disent que si un homme a des rapports avec un parent Ă  lui, parent faisant partie des proches qu’il n’a pas le droit de toucher aprĂšs leurs morts, mais que ce rapport sexuel ait Ă©tĂ© effectuĂ© avec un membre mou, cet homme est innocentĂ© Mais que peut-on dire maintenant Ă  propos de ceux qui disent que pour un tel acte, un homme est quand mĂȘme coupable ? – Ceux-lĂ  parlent du cas oĂč le rapport sexuel a lieu avec la morte elle-mĂȘme. Car il a Ă©tĂ© prĂ©sumĂ© qu’une femme, mĂȘme aprĂšs sa mort, appartient toujours le cas Ă©chĂ©ant Ă  la catĂ©gorie des parents qu’il est interdit de toucher on se rend donc coupable en ayant des rapports sexuels avec son corps, car c’est toujours une femme mariĂ©e. Mais dans le cas d’une parente vivante, on est innocentĂ© si le rapport sexuel est fait avec un membre aucune fĂ©condation ne peut avoir 18a, SanhĂ©drinLa morte Ă©tant une femme Ă  LEV. XXI, 2OĂč sont Ă©numĂ©rĂ©s les parents avec lesquels un prĂȘtre a le droit de se souiller Ă  l’occasion de leurs morts. »YEBAMOTH, 59b Quand Rabbi Dimi arriva il raconta ceci “Il est arrivĂ© un jour Ă  Haitalu que pendant qu’une jeune femme balayait le sol, un chien du village la couvrit pĂ©nĂ©tra par l’arriĂšre, mais Rabbi lui permit d’épouser un prĂȘtre.” Samuel a dit “MĂȘme un Grand PrĂȘtre !” »De Palestine, quand il arriva de Palestine Ă  babylonienne pour Aitulu », qui correspond Ă  la ville moderne d’Aiterun, au nord-ouest de maison ”Ou “un gros chien de chasse” Rashi, ou “un chien fĂ©roce” Jast., ou “un petit chien sauvage” Aruk.Un cas de rapport sexuel par les voies qui ne sont pas naturelles. »Mon cher Docteur Goldstein, aprĂšs que vous ayez personnellement pris connaissance de ces citations rigoureusement fidĂšles du Talmud dans l’Édition Soncino — citations que j’ai Ă  peine choisies parmi leurs innombrables sƓurs — pensez-vous toujours que le Talmud soit le genre de livre » duquel JĂ©sus-Christ a puisĂ© les enseignements qui lui ont permis de rĂ©volutionner le monde » ? Vous avez lu ici des citations mot pour mot de la traduction anglaise annotĂ©e du Talmud, et bien d’autres sujets passionnants sont couverts dans ces 63 livres qui constituent le Talmud. Pour lire ces citations, il faut ĂȘtre bien accrochĂ© n’est-ce pas ? Je suis surpris que la Poste des États-Unis ne mette pas le Talmud sur la liste des ouvrages interdits Ă  l’envoi ; j’ai hĂ©sitĂ© Ă  vous les du Talmud dans le judaĂŻsme actuelle Talmud est inculquĂ© Ă  leurs enfants dĂšs qu’ils sont capables de lire ; et si le Talmud est le livre utilisĂ© pour la formation des rabbins », il est Ă©galement le livre qui sert Ă  former l’esprit de la masse des Juifs » dĂšs leur plus jeune Ăąge. le trĂšs cĂ©lĂšbre rabbin Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson dĂ©clare Le Juif moderne est le produit du Talmud. »Origine des Juifs » actuels prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s telsMon cher Docteur Goldstein, sans une connaissance complĂšte et prĂ©cise de l’origine et de l’histoire des juifs » d’Europe orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, il est tout Ă  fait impossible pour vous, ou pour n’importe qui, de comprendre vĂ©ritablement l’influence nĂ©faste que le Talmud, et notamment la priĂšre du Kol Nidre, ont exercĂ©e sur l’histoire du monde. Ces deux facteurs trĂšs peu connus, sont respectivement le moyeu et les rayons, de cette grande roue qui dĂ©ferle allĂšgrement vers une domination complĂšte de la cher Docteur Goldstein, je pense que vous allez ĂȘtre aussi Ă©tonnĂ© que le furent les 150 millions de chrĂ©tiens de ce pays, lorsqu’il y a quelques annĂ©es, j’ai Ă©lectrisĂ© la nation avec mes premiĂšres rĂ©vĂ©lations sur l’origine et l’histoire des Juifs » d’Europe orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels. Ces rĂ©vĂ©lations m’avaient coĂ»tĂ© de nombreuses annĂ©es de recherche. Et mes recherches Ă©tablissent sans l’ombre d’un doute, et Ă  l’opposĂ© de la croyance gĂ©nĂ©ralement rĂ©pandue chez les chrĂ©tiens, queles Juifs » d’Europe orientale ne furent Ă  aucun moment de leur histoire les lĂ©gendaires dix tribus perdues d’IsraĂ«l », comme ils se plaisent Ă  le raconter. Ce mensonge historique est maintenant solidement recherches implacables ont montrĂ© que les Juifs » d’Europe orientale ne peuvent lĂ©gitimement se rĂ©clamer d’un seul ancĂȘtre ayant mis un pied sur le sol de Palestine pendant l’ùre biblique. La recherche a Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© que les Juifs » d’Europe orientale ne furent jamais des SĂ©mites », ne sont pas aujourd’hui des SĂ©mites », ni ne pourront jamais ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme des SĂ©mites », mĂȘme avec toute l’imagination qu’on voudra. Une enquĂȘte exhaustive rejette de maniĂšre irrĂ©futable la croyance gĂ©nĂ©ralement admise selon laquelle les Juifs » d’Europe orientale sont le peuple Ă©lu », suivant l’expression consacrĂ©e de nos prĂ©dicateurs. La recherche dĂ©nonce cette thĂšse comme la plus fantastique des fabrications de l’ cher Docteur Goldstein, peut-ĂȘtre allez-vous pouvoir m’expliquer pourquoi, comment, et par qui, l’origine et l’histoire des Khazars et du Royaume de Khazarie, ont Ă©tĂ© si bien cachĂ©es pendant tant de siĂšcles ? Quelle mystĂ©rieuse force a Ă©tĂ© capable pendant une multitude de gĂ©nĂ©rations, de rayer les origines et l’histoire des Khazars de tous les livres d’histoire, et ce dans tous les pays du monde, alors que l’histoire des Khazars et de leur royaume repose sur des faits historiques incontestables ?Pendant l’annĂ©e 1948, au Pentagone Washington, j’avais l’occasion de m’adresser Ă  une large assemblĂ©e d’officiers du plus haut rang de l’ArmĂ©e des États Unis d’AmĂ©rique ; principalement des officiers de la branche G2 du service des Renseignements Militaires, qui travaillaient sur la situation gĂ©opolitique trĂšs explosive en Europe orientale et au Moyen-Orient. Je leur ai donc expliquĂ© en dĂ©tail l’origine des Khazars et celle de leur royaume mĂ©diĂ©val qui Ă©tait d’une taille considĂ©rable. Je pensais dĂ©jĂ  Ă  l’époque que sans une connaissance claire et dĂ©taillĂ©e de ce sujet, il n’est pas possible de comprendre ou d’évaluer correctement ce qui s’est mis en place dans le monde depuis 1917, l’annĂ©e de la rĂ©volution bolchevique en Russie. La connaissance des Khazars est Ă  la clĂ© de ce la conclusion de ma confĂ©rence, un Lieutenant-Colonel qui s’était rĂ©vĂ©lĂ© trĂšs alerte, m’informa qu’il dirigeait le dĂ©partement d’histoire d’une des Ă©coles d’enseignement supĂ©rieur les plus grandes et les plus rĂ©putĂ©es de tous les États-Unis ; il y enseignait l’histoire depuis dĂ©jĂ  16 ans. Il avait Ă©tĂ© rĂ©cemment rappelĂ© Ă  Washington pour prolongation de son service dans les forces armĂ©es. À ma grande surprise, il m’informa qu’au cours de toute sa carriĂšre de professeur d’histoire, il n’avait jamais entendu le mot Khazar ». Cela peut vous donner une idĂ©e, mon cher Docteur Goldstein, de l’efficacitĂ© de cette mystĂ©rieuse puissance qui est parvenu Ă  masquer l’origine et l’histoire des Khazars, afin de dissimuler au monde l’origine vĂ©ritable et l’histoire vĂ©ritable des Juifs » d’Europe le Xe siĂšcle, le royaume des Khazars avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©duit par les Russes Ă  la dimension d’environ 1 300 000 kmÂČ. Mais comme vous pouvez le constater sur la carte de l’Encyclopaedia Judaica, sa surface au Xe siĂšcle Ă©tait encore bien plus grande que celle d’aucune autre nation. La population du royaume Khazar Ă©tait composĂ©e pour la plus grande partie de Khazars, et pour le reste, par les quelque vingt-cinq nations d’agriculteurs pacifiques, qui peuplaient ces terres d’approximativement 1 600 000 kmÂČ, avant qu’elles ne soient envahies par les Khazars. Au premier siĂšcle avant JĂ©sus-Christ, les Khazars, partis de leur mĂšre patrie en Asie, ont envahi l’Europe orientale. Ils ont envahi l’Europe Orientale par la route naturelle des steppes, entre les Monts de l’Oural au Nord et la mer Caspienne au Sud. Les trĂšs belliqueux Khazars n’éprouvĂšrent guĂšre de difficultĂ©s Ă  soumettre les vingt-cinq nations de paysans pacifiques, qui occupaient approximativement 1 600 000 kmÂČ en Europe orientale. En une pĂ©riode relativement courte, les Khazars Ă©tablirent le plus grand et le plus puissant royaume d’Europe, et probablement le plus riche. Les Khazars Ă©taient des paĂŻens, lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale. Leur pratique religieuse Ă©tait un mĂ©lange du culte phallique, et d’autres formes de cultes idolĂątriques pratiquĂ©s en Asie par les nations paĂŻennes. De tels cultes se sont maintenus en Khazarie jusqu’au VIIe siĂšcle. Les excĂšs sexuels que pratiquaient les Khazars pour cĂ©lĂ©brer » leurs cultes religieux les amenĂšrent Ă  un degrĂ© de dĂ©gĂ©nĂ©rescence morale que leur roi ne pouvait plus tolĂ©rer. Au VIIe siĂšcle, le roi Bulan dĂ©cida d’abolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolĂątriques, et choisit l’une des trois religions monothĂ©istes qu’il connaissait trĂšs peu, pour religion d’état. AprĂšs avoir fait venir des reprĂ©sentants des trois religions monothĂ©istes, le roi Bulan rejeta le christianisme et l’islam, et choisit comme future religion d’état le culte religieux connu Ă  l’époque sous le nom de talmudisme », et aujourd’hui connu et pratiquĂ© sous le nom de judaĂŻsme ». Cet Ă©vĂ©nement est attestĂ© par de nombreux roi Bulan et les 4 000 nobles du systĂšme fĂ©odal de Khazarie furent rapidement convertis par des rabbins importĂ©s de Babylonie Ă  cet effet. Le culte phallique et les autres formes d’idolĂątrie furent dĂšs lors interdits. Les rois Khazars invitĂšrent un grand nombre de rabbins pour ouvrir des synagogues et des Ă©coles, afin d’instruire la population dans la nouvelle religion. Le judaĂŻsme Ă©tait devenu la religion d’état. Ces Khazars convertis furent la premiĂšre population de juifs » en Europe orientale. Les juifs » d’Europe orientale, ne sont rien d’autre que les descendants directs des Khazars qui se sont convertis en masse au talmudisme au VIIe siĂšcle de notre Ăšre. Le plus grand historien des origines et de l’histoire des juifs » d’Europe orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, Ă©tait le Professeur H. Graetz, lui-mĂȘme un juif ». Dans sa cĂ©lĂšbre Histoire des Juifs, le Professeur Graetz indique que lorsque les Juifs » des autres pays, entendirent des rumeurs sur l’existence de juifs » dans le royaume de Khazarie, ils crurent que ces Khazars Ă©taient les dix tribus perdues d’IsraĂ«l ». Ces rumeurs furent Ă  l’origine de la lĂ©gende selon laquelle la Palestine Ă©tait la patrie ancestrale » des Khazars, qui n’étaient en rĂ©alitĂ© que des barbares asiatiques, convertis de fraĂźche date. Quand le roi Bulan fut convertit au VIIe siĂšcle, il dĂ©crĂ©ta que les caractĂšres hĂ©breux qu’il avait vus dans le Talmud et dans d’autres documents hĂ©breux, seraient dorĂ©navant adoptĂ©s comme l’alphabet du langage khazar. Les caractĂšres hĂ©breux furent donc tant bien que mal utilisĂ©s pour transcrire phonĂ©tiquement le langage des Khazars. Les Khazars adoptĂšrent les lettres de la langue hĂ©braĂŻque, simplement afin de se doter d’un moyen de transmettre leurs discours par Ă©crit. Cette dĂ©cision n’est aucunement l’indice d’une origine raciale commune avec les HĂ©breux, pas plus qu’elle ne fut motivĂ©e par des raisons politiques ou religieuses. Les nations europĂ©ennes occidentales qui n’avaient pas d’alphabet pour transcrire leurs langues parlĂ©es, adoptĂšrent l’alphabet latin dans des circonstances analogues. AprĂšs l’invasion de l’Europe occidentale par les Romains, la culture et la civilisation romaines furent introduites dans ces territoires. C’est la raison pour laquelle l’alphabet latin est toujours employĂ© dans le français, l’espagnol, l’anglais, le suĂ©dois, ainsi que par de nombreuses autres langues europĂ©ennes. Certaines de ces langues sont Ă©trangĂšres les unes aux autres, et pourtant elles utilisent toutes le mĂȘme alphabet. Les Romains apportĂšrent cet alphabet avec leur culture Ă  ces nations non civilisĂ©es, exactement comme les rabbins apportĂšrent l’alphabet hĂ©breux de Babylonie aux yiddish Depuis la disparition du royaume khazar, la langue khazare est connue sous le nom de yiddish ». Depuis environ six siĂšcles, les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s d’Europe orientale, se dĂ©signent dans tous les pays oĂč on les retrouve aprĂšs la dislocation de leur royaume, comme Ă©tant de nationalitĂ© yiddish ». Ils dĂ©signent Ă©galement leur langue commune comme Ă©tant le yiddish ». Comme vous le savez, mon cher Docteur Goldstein, il existe aujourd’hui Ă  New York un grand nombre de journaux yiddish », des théùtres yiddish », et beaucoup d’autres institutions culturelles pour les Juifs » d’Europe orientale, qui sont publiquement dĂ©signĂ©es ou rĂ©pertoriĂ©es sous le mot yiddish ».Avant qu’elle ne commence Ă  ĂȘtre connue sous le nom de langue yiddish », la langue maternelle des Khazars, dont le vocabulaire Ă©tait assez limitĂ©, s’est accru de nombreux mots nouveaux, suivant que les circonstances le rĂ©clamaient. Ces mots furent piochĂ©s dans le vocabulaire des nations avoisinantes, avec lesquelles les Khazars avaient des relations politiques, sociales ou commerciales. Toutes les langues augmentent leur vocabulaire de cette façon. Les Khazars adaptĂšrent donc Ă  leurs besoins des mots issus de l’allemand, du slavon, et du langue yiddish » n’est pas du tout un dialecte de l’allemand. Beaucoup de personnes sont portĂ©es Ă  le croire uniquement parce que le yiddish a empruntĂ© un trĂšs grand nombre de mots Ă  l’allemand. Le yiddish » est l’appellation moderne de l’ancienne langue maternelle des mĂȘme, le yiddish ne doit pas ĂȘtre confondu avec l’hĂ©breu, parce que ces langues se servent toutes deux du mĂȘme alphabet. Il n’y a pas un seul mot en yiddish, qui existait aussi en hĂ©breu. Ainsi que je l’ai dĂ©clarĂ© auparavant, ces deux langues sont aussi hĂ©tĂ©rogĂšnes que le sont par exemple le suĂ©dois et l’espagnol, qui utilisent pourtant le mĂȘme alphabet yiddish n’a jamais eu de connotation religieuse ou sacrĂ©e, mĂȘme s’il utilise les lettres hĂ©braĂŻques comme alphabet. Yiddish » ne devrait donc pas ĂȘtre confondu avec Juif » et judaĂŻsme »  Or c’est pourtant toujours le destruction du royaume de Khazarie, et le devenir de sa population Pendant les Xe, XIe, XIIe et XIIIe siĂšcles, la nation russe en pleine expansion a grignotĂ© progressivement le royaume khazar, son voisin direct au sud. La conquĂȘte du royaume khazar par les Russes fournit Ă  l’histoire l’explication sur la concentration importante et brutale de Juifs » en Russie, au XIIIe siĂšcle. AprĂšs la destruction du royaume khazar, les nombreux Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s de Russie, et de toute l’Europe orientale, n’étaient plus connus comme des Khazars », mais comme les populations yiddish » de tous ces pays. Et c’est encore ainsi qu’ils se dĂ©signent aujourd’ cours de ses nombreuses guerres avec ses voisins europĂ©ens aprĂšs le XIIIe siĂšcle, la Russie a tout de mĂȘme dĂ» cĂ©der des territoires importants, qui faisaient originairement partie du royaume khazar. C’est ainsi que la Pologne, la Lituanie, la Galicie, la Hongrie, la Roumanie, et l’Autriche, acquirent de la Russie certains territoires qui faisaient originellement partie du royaume khazar. Et avec ces territoires, ces nations hĂ©ritĂšrent aussi de nombreux Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s, descendants des Khazars, et qui Ă©taient demeurĂ©s sur le sol de leur ancien royaume. Ces frĂ©quents partages de frontiĂšres entre les diffĂ©rentes nations d’Europe orientale expliquent la prĂ©sence actuelle de Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s dans tous ces pays. Leur langage commun, leur culture commune, leur religion commune, et leurs caractĂ©ristiques raciales communes, classent ces Juifs » sans le moindre doute comme les descendants des Khazars, peuple qui commença Ă  envahir l’Europe orientale au premier siĂšcle avant JĂ©sus-Christ, et qui se convertit au talmudisme » au VIIe siĂšcle de notre conversion du roi Bulan suivie de celle de la nation khazare est au Talmudisme ce que la conversion de l’Empereur Constantin suivie de celle des nations occidentales est au christianisme. Avant la conversion de Constantin, le christianisme Ă©tait une religion relativement peu importante, pratiquĂ©e principalement dans les pays situĂ©s sur le rivage oriental de la MĂ©diterranĂ©e ; mais avec sa conversion, l’Empereur Constantin entraĂźna avec lui toutes les populations paĂŻennes de l’Europe occidentale. Le talmudisme c’est-Ă -dire, le judaĂŻsme, qui est le nom actuel du talmudisme connut le plus grand essor de toute son histoire par la conversion de l’immense population khazare, au cours du VIIe siĂšcle. Sans la conversion des Khazars, il est probable que le talmudisme n’aurait pas survĂ©cu face au christianisme et Ă  l’islam. Sans la conversion des Khazars, le judaĂŻsme n’aurait probablement pas existĂ©. Le talmudisme, c’est-Ă -dire le code civil et religieux des pharisiens, aurait l’an 986, le prince de Russie, Vladimir III, se convertit Ă  la foi chrĂ©tienne, pour Ă©pouser une princesse catholique slavonne d’un Ă©tat voisin. Et le prince Vladimir III, fit de sa nouvelle religion, la religion d’état de toute la Russie, remplaçant ainsi le culte paĂŻen, pratiquĂ© en Russie depuis sa fondation qui remonte Ă  l’an 820. Les nombreuses tensions qui en rĂ©sultĂšrent produisirent des situations que les historiens ont dĂ©crites par les mots massacres », pogromes », persĂ©cutions », discrimination »,La version remaniĂ©e du Kol NidreLa nouvelle version du Kol Nidre est mentionnĂ©e dans le Talmud comme la loi de rĂ©vocation par avance des serments ». La priĂšre du Kol Nidre Ă©tait donc considĂ©rĂ©e comme une loi. Toute personne qui chaque annĂ©e, Ă  la veille du jour de l’expiation des pĂ©chĂ©s, rĂ©citait cette loi de rĂ©vocation par avance des serments », Ă©tait censĂ©e obtenir de Dieu la dispense de remplir toutes obligations acquises par serment, pour toute l’annĂ©e Ă  venir. Comme nous l’avons vu, l’incantation de la priĂšre du Kol Nidre Ă  la veille du Jour de l’expiation des pĂ©chĂ©s, dĂ©gageait les Juifs » de toutes les obligations prises par serment, par vƓu, ou par promesse. Au risque de me rĂ©pĂ©ter, j’insiste sur le fait que les serments, les vƓux et les promesses faites par les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s Ă©taient donc prononcĂ©es exactement comme les promesses que font les enfants en croisant les doigts, mais dans des situations infiniment plus version remaniĂ©e du Kol Nidre causa de sĂ©rieux problĂšmes aux Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s, lorsque sa traduction fut nĂ©anmoins dĂ©couverte par les chrĂ©tiens
 Car le Kol Nidre ne resta pas un secret trĂšs longtemps, malgrĂ© la dĂ©claration du Talmud selon laquelle la loi de rĂ©vocation par avance ne fut pas rendue publique ». La version remaniĂ©e du Kol Nidre devint assez rapidement connue comme le vƓu des Juifs », et elle jeta un doute sĂ©rieux sur les serments, les vƓux ou les promesses donnĂ©es aux chrĂ©tiens par les JuifsEn 1844, une intelligente tentative visant Ă  corriger cette situation fut entreprise par un groupe de rabbins allemands
 Cette annĂ©e-lĂ , ils rassemblĂšrent une confĂ©rence internationale de rabbins Ă  Braunschweig, en Allemagne. Ils tentĂšrent d’éliminer complĂštement la priĂšre du Kol Nidre de la cĂ©rĂ©monie du jour de l’expiation des pĂ©chĂ©s, et d’en abolir la version remaniĂ©e ainsi que la version initiale de toutes leurs cĂ©rĂ©monies religieuses. Ils pensaient que ce prologue profane Ă  la cĂ©rĂ©monie du jour de l’expiation des pĂ©chĂ©s, Ă©tait vide de toute spiritualitĂ© et n’appartenait pas au rituel des synagogues. Cependant, la grande majoritĂ© des rabbins assistant Ă  la confĂ©rence de Braunschweig Ă©taient originaires d’Europe orientale
 Ils reprĂ©sentaient les congrĂ©gations des Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s parlant le yiddish, et dont les ancĂȘtres Ă©taient les Khazars. Ils insistĂšrent pour que la version remaniĂ©e du Kol Nidre soit strictement maintenue. Ils demandĂšrent qu’elle soit maintenue dans la forme exacte dans laquelle Meir ben Samuel l’avait rĂ©digĂ©e six siĂšcles auparavant, juste aprĂšs la conquĂȘte russe. Aujourd’hui encore, elle est scrupuleusement rĂ©citĂ©e dans cette forme prĂ©cise, par tous les Juifs » du monde prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, s’entend
 Mais mon cher Docteur Goldstein, les 150 millions de chrĂ©tiens des États-Unis d’AmĂ©rique vont-ils eux aussi ressortir les rĂ©actions qui furent les leurs au Moyen Âge, lorsqu’ils apprendront Ă  nouveau le sens vĂ©ritable du Kol Nidre ?Les Juifs et les ChrĂ©tiens sont-ils des frĂšres ?Si les Juifs » utilisent le Talmud comme rĂšgle de leurs activitĂ©s politiques, Ă©conomiques et sociales, quel peut ĂȘtre le degrĂ© de sincĂ©ritĂ© de tous les serments, les vƓux ou les promesses qu’ils pourraient ĂȘtre amenĂ©s Ă  faire ? Ce serait pour le coup un geste sans pareil de fraternitĂ© » et de communautĂ© de foi », si la ConfĂ©rence Nationale des ChrĂ©tiens et des Juifs parvenait Ă  expurger du Talmud la multitude des passages attaquant directement le Christ, les chrĂ©tiens ou le christianisme. Au prix d’un grand nombre de millions de dollars, cette ConfĂ©rence Nationale des ChrĂ©tiens et des Juifs est en revanche parvenu Ă  expurger du Nouveau Testament, les passages que les Juifs » considĂ©raient comme une offense Ă  leur foi ».Et pendant qu’elle y est, la ConfĂ©rence Nationale des ChrĂ©tiens et des Juifs pourrait jeter un coup d’Ɠil sur les millions de dollars investis aujourd’hui par les Juifs », pour s’assurer que le Talmud reste bien le seul axe des activitĂ©s politiques, Ă©conomiques, culturelles et sociales de tous leurs coreligionnaires d’aujourd’hui et de cher Docteur Goldstein, vous vous souvenez sans doute d’avoir lu un peu plus haut une citation d’un des spĂ©cialistes les plus autorisĂ©s sur le Talmud, et selon laquelle le Juif moderne est un produit du Talmud. » Seriez-vous surpris d’apprendre qu’un bon nombre de chrĂ©tiens sont Ă©galement le produit du Talmud » ? Eh oui, les enseignements du Talmud sont acceptĂ©s par des chrĂ©tiens du plus haut Ă©chelon hiĂ©rarchique
 Je n’aurais besoin que d’un seul exemple pour vous en persuader, celui du dernier PrĂ©sident des États-Unis d’AmĂ©rique. En 1951, on a offert pour la seconde fois au PrĂ©sident Truman, l’ensemble des 63 livres composant le Talmud. À cette occasion un journal rĂ©digea l’article suivant Monsieur Truman nous a remerciĂ©s pour les livres, et a dĂ©clarĂ© qu’il Ă©tait trĂšs content de les avoir, il a mĂȘme ajoutĂ© le mot suivant “Il y a quatre ans on m’a offert les mĂȘmes, et j’ai pu en lire bien davantage que ce que les gens pensent”. Il nous a dit qu’il lisait beaucoup, et que le livre qu’il lisait le plus Ă©tait le Talmud qui contient, nous a-t-il dit “un bon paquet de raisonnements trĂšs sains, et une bonne philosophie de la vie !” ».Ainsi, notre dernier PrĂ©sident nous dit qu’il tire bien des avantages de ce livre qu’il lit le plus », et qui contient un bon paquet de raisonnements trĂšs sains », ainsi qu’une bonne philosophie de la vie »  Et plus rĂ©cemment, alors qu’il Ă©tait encore en fonction, les dĂ©clarations de notre dernier PrĂ©sident dĂ©notent chez lui une connaissance vĂ©ritable du Talmud ; toute personne qui connaĂźt le Talmud pourra le discerner trĂšs vite. Mais notre dernier PrĂ©sident Sait-il que JĂ©sus-Christ n’avait pas le mĂȘme sentiment que lui sur le Talmud ? Ce bon paquet de raisonnements trĂšs sains », et cette bonne philosophie de la vie », Ă©taient en permanence dĂ©noncĂ©s d’une maniĂšre des plus vives par JĂ©sus-Christ, et en des termes non Talmud dĂ©masquĂ©Le Talmud dĂ©masquĂ©, les secrets rabbiniques concernant les chrĂ©tiens est un ouvrage magistral Ă©crit par le PĂšre Justin Bonaventure Pranaitis, MaĂźtre de ThĂ©ologie et professeur d’hĂ©breu. Le PĂšre Pranaitis Ă©tait le plus grand connaisseur du Talmud chez les non-juifs. Sa complĂšte maĂźtrise de l’hĂ©breu lui permit de donner une analyse trĂšs compĂ©tente du Talmud et, dans toute l’histoire humaine, peu d’hommes auraient eu l’érudition nĂ©cessaire pour une telle mot antisĂ©mite » est encore un mot qu’on devrait retirer de la langue anglaise. Aujourd’hui, le mot antisĂ©mite » ne sert plus qu’un seul objectif c’est devenu le mot clef de la diffamation. Lorsque les Juifs » sentent qu’un quidam va s’opposer Ă  l’un de leurs objectifs quelconques, ils le prennent immĂ©diatement pour cible, et ils le discrĂ©ditent en lui collant systĂ©matiquement l’étiquette antisĂ©mite ! ». Et ils le font dans tous les mĂ©dias qu’ils possĂšdent ou qu’ils contrĂŽlent indirectement. Je parle ici aprĂšs une longue expĂ©rience personnelle, vous pouvez me croire. Lorsqu’en 1946, j’ai fait ma premiĂšre dĂ©claration publique sur les Ă©vĂ©nements de Palestine, mes anciens coreligionnaires ont Ă©tĂ© bien incapables de me rĂ©futer, ils ont donc dĂ©pensĂ© des millions de dollars pour me salir, en faisant soudain de moi un grossier antisĂ©mite » ; espĂ©rant par-lĂ  me discrĂ©diter aux yeux du public qui manifestait pourtant un grand intĂ©rĂȘt Ă  ce que je lui disais. Jusqu’en 1946, j’étais un petit Saint » pour tous les Juifs » de ce pays prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels. Mais lorsque j’ai manifestĂ© publiquement mon dĂ©saccord envers la politique sioniste en Palestine, je suis devenu d’un coup l’antisĂ©mite numĂ©ro 1 ».Il est honteux de voir comment le clergĂ© chrĂ©tien reprend Ă  son compte l’usage Ă  tout propos du terme antisĂ©mite ». Les prĂȘtres devraient chercher Ă  savoir de quoi ils parlent. Ils savent pourtant bien que ce mot n’a pas le moindre sens dans l’usage qu’on lui donne aujourd’hui. Ils savent que le terme correct pour dĂ©signer une personne qui s’opposerait au judaĂŻsme en tant que religion, n’est pas anti-sĂ©mite », mais bien judĂ©o-phobe ». Mais s’ils ont prĂ©fĂ©rĂ© la racine -sĂ©mite », Ă  la racine judĂ©o- », c’est justement pour forger un terme de diffamation ; sachant pertinemment que dans l’esprit des chrĂ©tiens, le mot SĂ©mite » est Ă©troitement liĂ© Ă  celui de JĂ©sus-Christ ». En tolĂ©rant l’usage de ce mot de diffamation, les chrĂ©tiens sont devenus des instruments dans l’entreprise de destruction de leur propre foi ; puisque ce mot permet de persĂ©cuter, puis de rĂ©duire au silence, tous les chrĂ©tiens qui s’opposent Ă  la cher Docteur Goldstein, cela vous chagrine sans doute autant que moi de voir les valeurs morales sombrer de jour en jour, vers des points toujours plus profonds. Il faudrait ĂȘtre bien aveugle pour ne pas constater cette chute la dĂ©tĂ©rioration des valeurs morales est la cause de notre psychose actuelle qui se dĂ©finit ainsi Faire le plus d’argent possible ». Avoir le plus de fun possible ».Aujourd’hui chez nous, il semble qu’il n’y ait plus que ces deux seules choses qui cher Docteur Goldstein, combien connaissez-vous de personnes, dans votre entourage, qui incluent Ă  leur tĂąche quotidienne quelques petits services, ou quelques petits sacrifices, pour la dĂ©fense de ces droits inestimables que nous tenons du PĂšre Éternel ?En outre, il ne faut pas se leurrer, le sabotage des valeurs morales de notre pays est davantage une phase de leur conspiration qu’un accident alĂ©atoire dans la marche de l’humanitĂ© vers de meilleures conditions d’existence
Au cours des derniĂšres dĂ©cennies, les rĂȘnes de cette nation sont toujours tombĂ©es dans les mains des personnes les moins dignes de remplir cette responsabilitĂ©, et les plus engagĂ©es dans la conspiration. La situation actuelle est le rĂ©sultat de leurs efforts ininterrompus pour fabriquer des prostituĂ©s chrĂ©tiens de sexe masculin ».Des milliers de ces chrĂ©tiens-travestis » circulent incognito dans tous les axes de la sociĂ©tĂ© civile ; et pour un peu d’argent ou de pouvoir, se prĂȘtent dĂ©licieusement aux exigences d’une propagande plus grand crime de tous les crimes de toute l’histoire le crime des crimes si vous voulez, l’iniquitĂ© qui dĂ©passe toute mesure sur le plan de la politique internationale, a vu le jour en Palestine, il y a quelques annĂ©es, presque par la seule consĂ©quence de l’intervention des États-Unis, sous l’instigation de l’Organisation Sioniste Internationale, dont le quartier gĂ©nĂ©ral se trouve Ă  New York. Cette intervention des États-Unis du cĂŽtĂ© des agresseurs illustre mieux que tout autre exemple la puissance que peuvent avoir sur notre gouvernement ces chrĂ©tiens travestis », qui agissent impunĂ©ment pour le compte des conspirateurs sionistes
 Cette intervention fut la page la plus sombre de toute notre 150 000 000 de chrĂ©tiens des États-Unis ont Ă©tĂ© soumis Ă  une trĂšs haute pression de la part du clergĂ©, pour qu’ils accordent leur soutien inconditionnel au programme sioniste du retour » de ces Juifs » d’Europe orientale dans leur patrie » de Palestine
 Juifs » prĂ©tendus et autoproclamĂ©s, qui Ă©taient en rĂ©alitĂ© les descendants des Khazars. Le clergĂ© nous a sommĂ©s de considĂ©rer les Juifs » d’Europe orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, comme Ă©tant le peuple Ă©lu » par Dieu, et que la Palestine Ă©tait leur Terre Promise ». Mais en vĂ©ritĂ© notre clergĂ© savait pertinemment ce qu’il en Ă©tait. Mon cher Docteur Goldstein, vous pouvez ĂȘtre bien certain que c’est leur cupiditĂ© et non leur stupiditĂ© qui les a poussĂ©s Ă  nous cacher la un fait historique bien Ă©tabli que la participation active des États-Unis Ă  la conquĂȘte de la Palestine par les sionistes, fut la condition nĂ©cessaire de son succĂšs. Sans la participation active des États-Unis sous l’instigation des sionistes, il est certain que les sionistes n’auraient jamais entrepris la conquĂȘte de ce pays par la force des armes. Et la Palestine d’aujourd’hui serait un Ă©tat indĂ©pendant et souverain, que le processus de dĂ©colonisation aurait transformĂ© en une nation sincĂšrement vĂŽtre,Benjamin H. FreedmanLes Khazars dĂ©barquent dans l’histoireLe mystĂ©rieux royaume khazar a influencĂ© notre monde moderne d’une maniĂšre dont nous n’avons pas toujours Khazars n’avaient longtemps intĂ©ressĂ© que des spĂ©cialistes de l’histoire de l’Asie centrale Les innombrables chercheurs » qui pullulent aujourd’hui dans les universitĂ©s amĂ©ricaines ont trouvĂ©-lĂ  une mine d’autant plus inĂ©puisable qu’il s’agit d’une matiĂšre Ă  controverses, souvent violentes, toujours passionnĂ©es pour les uns, l’ensemble des Khazars a Ă©tĂ© converti au judaĂŻsme et reprĂ©sente la quasi-totalitĂ© des juifs dits Ashkenazes » contemporains, pour les autres, seule une toute petite partie de l’aristocratie de l’empire khazar a rejoint la nouvelle religion et les juifs de la rĂ©gion sont de purs descendants de leurs co-religionnaires judĂ©ens. Les positions mixtes ont Ă©galement d’innombrables est-il que la question khazare » a opĂ©rĂ© un dĂ©barquement tonitruant dans l’histoire contemporaine avec la polĂ©mique liĂ©e Ă  la colonisation de la Palestine Ă  partir de la fin du XIXe effet, Ă  partir de cette pĂ©riode, qui correspond Ă  l’apogĂ©e de tous les mouvements colonisateurs europĂ©ens, d’immenses cohortes de juifs dits Ashkenazim », originaires des rĂ©gions autrefois occupĂ©es par les tribus de l’empire khazar tardivement converties au judaĂŻsme, ont dĂ©ferlĂ© sur une Palestine miraculeusement mĂ©tamorphosĂ©e en terre de leurs ancĂȘtres ». Ils en revendiquaient la propriĂ©tĂ© au nom de la connaissance qu’ils possĂ©daient par ouĂŻ-dire de l’existence d’un acte notariĂ© dressĂ© entre un extra-terrestre et d’hypothĂ©tiques ancĂȘtres qui auraient Ă©tĂ© mĂ©chamment privĂ©s de leur hĂ©ritage par de cruels centurions les premiers ministres du nouvel Etat surgi en terre palestinienne en 1948 Ă©taient originaires d’Europe orientale et des rĂ©gions qui correspondent Ă  l’ex-empire khazar. Les dĂ©mographes de l’actuel Etat hĂ©breu n’ont trouvĂ© qu’une seule famille, les Zinati de Pekin, qui aurait rĂ©sidĂ© en Palestine sans aucune interruption depuis l’ des khazars1. David Ben Gourion nĂ© David GrĂŒn 16 octobre 1886-1er dĂ©cembre 1973 est nĂ© Ă  Plonsk en Pologne dans une famille sioniste son pĂšre, professeur d’hĂ©breu, Ă©tait un membre des Amants de Sion. Il Ă©migre en Palestine britannique en MoshĂ© Sharett nĂ© MoshĂ© Shertok , 15 octobre 1894 – 7 juillet 1965 est nĂ© Ă  Kherson, dans l’Empire russe aujourd’hui en Ukraine. Il Ă©migra en Palestine britannique en Levi Eshkol 25 octobre 1895- 26 fĂ©vrier 1969 est nĂ© dans un village Ă  proximitĂ© de la ville de Kiev , dans l’empire russe, aujourd’hui Ukraine. Il Ă©migre en Palestine ottomane en Ygal Allon nĂ© Ygal PaĂŻcovitch 10 octobre 1918- 29 fĂ©vrier 1980 est nĂ© Kfar Tabor, au pied du Mont Tavor dans l’est de la Basse GalilĂ©e d’une famille originaire de Roumanie qui Ă©migre en Palestine en Golda Meir Golda Meirson, nĂ©e Golda Mabovitz 3 mai 1898 -8 dĂ©cembre 1978 est nĂ©e Ă  Kiev, au cƓur de l’empire russe, aujourd’hui capitale de l’Ukraine. Sa famille Ă©migre aux Etats-Unis en 1903, le couple Meirson arrive en Palestine en Yitzhak Rabin Yitzhak Rubitzov, 1er mars 1922 – assassinĂ© Ă  Tel Aviv le 4 novembre 1995 est nĂ© Ă  JĂ©rusalem. Ses parents, Nehemiah et Rosa Rubitzov originaires d’Ukraine Ă©migrĂšrent d’abord vers les Etats-Unis7. Menahem Volfovitz Begin Mieczyslaw Biegun , 16 aoĂ»t 1913 -9 mars 1992 . Il est nĂ© Ă  Brest-Litovsk, alors ville polonaise Ă  majoritĂ© juive, aujourd’hui BiĂ©lorussie. Il n’arrive en Palestine qu’en Yitzhak Shamir Yitzhak Jazernicki 15 octobre 1915
 , est nĂ© Ă  Ruzhany, en Pologne, actuelle BiĂ©lorussie. Il Ă©migre en Palestine en Shimon Peres Szymon Perski Il est nĂ© le 2 aoĂ»t 1923 Ă  Wisniew Pologne, actuelle BiĂ©lorussie. Il Ă©migre en Palestine en Benyamin Netanyahou nĂ© le 21 octobre 1949 Ă  Tel Aviv Petit-fils d’un rabbin Ă©migrĂ© de Lituanie en Palestine en 192011. Ehud Barak Ehud Brog, nĂ© le 12 fĂ©vrier 1942 au kibboutz Mishmar Hasharon Fils d’Israel Brog et d’Esther Godin, immigrĂ©s respectivement de Lituanie et de Ariel Sharon Ariel Scheinermann nĂ© le 26 fĂ©vrier 1928 Ă  Kfar Malal en Palestine. Son pĂšre Shmouel Scheinerman est originaire de Brest-Litovsk alors en Pologne, actuellement BiĂ©lorussie. Sa mĂšre VĂ©ra est un mĂ©decin originaire de Mohilev en Ehud Olmert nĂ© le 30 septembre 1945 Ă  Binyamina en Palestine. Son pĂšre MordechaĂŻ – nĂ© Ă  Buguruslan en Russie, Ă©migre en Chine en 1919, Ă  Harbin, et arrive en Palestine en s’était installĂ© dans l’exil durant dix-sept siĂšcles et le Dieu local d’une Ă©charpe de terre du bassin oriental de la MĂ©diterranĂ©e Ă©tait devenu une divinitĂ© itinĂ©rante qui avait pĂ©rĂ©grinĂ© durant deux millĂ©naires dans le monde entier au grĂ© des dĂ©placements de ses ses fidĂšles avaient la bougeotte. Tout en le refusant et en le combattant de toutes ses forces, JahvĂ© avait collĂ© aux talons du Dieu JĂ©sus. MalgrĂ© l’inimitiĂ© rĂ©ciproque que les partisans des deux divinitĂ©s se manifestaient, ses fidĂšles s’étaient immĂ©diatement installĂ©s dans les rĂ©gions progressivement converties au nouveau Dieu trinitaire. C’est ainsi qu’à la fin du premier millĂ©naire, et alors que le Dieu JĂ©sus rĂ©gnait en maĂźtre sur toute l’Europe occidentale – JahvĂ© ne l’avait prĂ©cĂ©dĂ© qu’en Espagne – ses fidĂšles s’étaient attachĂ©s aux pas des chrĂ©tiens et on les trouvait en France, en Allemagne et jusqu’en Europe centrale, notamment en BohĂȘme et en lĂ  que s’était produit l’évĂšnement extraordinaire qui permit au judaĂŻsme de gonfler brusquement sa population, et donc de survivre jusqu’à nos jours en tant que groupe humain effet, loin de s’épuiser au fur et Ă  mesure qu’il s’éloignait de son camp de base judĂ©en et qu’il expĂ©diait tous azimuts des petits groupes d’éclaireurs, JahvĂ© avait offert Ă  ses fidĂšles Ă©berluĂ©s la surprise et le cadeau sans prix de dĂ©couvrir que dans les plaines orientales de l’Europe et jusqu’aux confins de l’Asie vivait une immense population de co-religionnaires dont personne ni en Orient, ni en Occident n’avait entendu Khazar au moment de sa conversion Ă  la religion du Dieu JahvĂ©. Carte rĂ©alisĂ©e par le cabinet architectural Richard Burd. Le premier mai 1999, l’ensemble des cartes de Richard Burd sur le royaume Khazar a remportĂ© le prix annuel dĂ©cernĂ© par le Doyen au sein du DĂ©partement des Études Slaves de l’universitĂ© de Californie Los AngelesC’est ainsi que les Khazars judaĂŻsĂ©s Ă©taient entrĂ©s dans l’histoire. Ils entrĂšrent dans l’histoire locale par la force des choses, puisqu’ils Ă©taient lĂ . Mais ils ne sont jamais entrĂ©s dans la narration officielle car leur existence mĂȘme contredit le mythe sur lequel se fondent les revendications des colons installĂ©s en Palestine. C’est pourquoi la narration mythologique qui tient lieu d’histoire dans l’Etat nĂ© en 1947 continue de refuser officiellement leur existence et une filiation dont leurs descendants semblent avoir khazar VIIe-XIe siĂšcle, L’énigme d’un peuple cavalierLes Khazars une Ă©nigme historique de la taille d’un empire disparu qui aurait durĂ© du VIIe au XIe siĂšcle de notre Ăšre et qui s’étendait entre la mer Caspienne et la mer Noire, de la Volga Ă  la chaĂźne du Caucase, au croisement des grandes routes commerciales et des zones d’influence des trois spiritualitĂ©s chrĂ©tienne, juive et musulmane. Comment retracer l’histoire de ce peuple cavalier d’origine turco-mongole ? Pourquoi les Khazars se sont-ils convertis massivement au judaĂŻsme ? Pourquoi leur empire s’est-il Ă©croulĂ© ? Pourquoi ont-ils Ă©tĂ© si longtemps oubliĂ©s ? Et pourquoi, d’Arthur Koestler Ă  Marek Halter, font-ils rĂȘver ? VoilĂ  les questions auxquelles tente de rĂ©pondre cet ouvrage, mettant Ă  contribution spĂ©cialistes et passionnĂ©s de la Russie. Comment le peuple juif fut inventĂ© de Shlomo SandQuand le peuple juif fut-il créé ? Est-ce il y a quatre mille ans, ou bien sous la plume d’historiens juifs du XIXe siĂšcle qui ont reconstituĂ© rĂ©trospectivement un peuple imaginĂ© afin de façonner une nation future ? Dans le sillage de la » contre-histoire » nĂ©e en IsraĂ«l dans les annĂ©es 1990, Shlomo Sand nous entraĂźne dans une plongĂ©e Ă  travers l’histoire » de longue durĂ©e » des juifs. Les habitants de la JudĂ©e furent-ils exilĂ©s aprĂšs la destruction du Second Temple, en l’an 70 de l’ùre chrĂ©tienne, ou bien s’agit-il ici d’un mythe chrĂ©tien qui aurait infiltrĂ© la tradition juive ? Et, si les paysans des temps anciens n’ont pas Ă©tĂ© exilĂ©s, que sont-ils devenus ? L’auteur montre surtout comment, Ă  partir du XIXe siĂšcle, le temps biblique a commencĂ© Ă  ĂȘtre considĂ©rĂ© par les premiers sionistes comme le temps historique, celui de la naissance d’une nation. Ce dĂ©tour par le passĂ© conduit l’historien Ă  un questionnement beaucoup plus contemporain Ă  l’heure oĂč certains biologistes israĂ©liens cherchent encore Ă  dĂ©montrer que les juifs forment un peuple dotĂ© d’un ADN spĂ©cifique, que cache aujourd’hui le concept d' » Etat juif , et pourquoi cette entitĂ© n’a-t-elle pas rĂ©ussi jusqu’à maintenant Ă  se constituer en une rĂ©publique appartenant Ă  l’ensemble de ses citoyens, quelle que soit leur religion ? En dĂ©nonçant cette dĂ©rogation profonde au principe sur lequel se fonde toute dĂ©mocratie moderne, Shlomo Sand dĂ©laisse le dĂ©bat historiographique pour proposer une critique de la politique identitaire de son pays. Construit sur une analyse d’une grande originalitĂ© et pleine d’audace, cet ouvrage foisonnant aborde des questions qui touchent autant Ă  l’origine historique des juifs qu’au statut civique des IsraĂ©liens. Paru au printemps 2008 en IsraĂ«l, il y est trĂšs rapidement devenu un best-seller et donne encore lieu Ă  des dĂ©bats enregistrĂ©e en 2008. Shlomo Sand est historien israĂ©lien et professeur Ă  l’UniversitĂ© de Tel Aviv Crimes de masse commis par les sionistes sur des juifs sĂ©faradesLes sionistes ont la rĂ©putation bien mĂ©ritĂ©e d’avoir Ă©tĂ© les pires antisĂ©mites de l’histoire. N’étant pas eux-mĂȘmes des sĂ©mites, ils n’ont jamais rĂ©ellement adhĂ©rĂ© au judaĂŻsme religieux. Lors de la crĂ©ation de l’état d’IsraĂ«l en 1947, une force de rĂ©pression plana autour des Juifs sĂ©farades. On essaya de les endoctriner dĂšs leur arrivĂ©e en Palestine. Il fallait qu’ils comprennent que leur foi en Dieu Ă©tait dĂ©nuĂ©e de logique et de fondement, que la religion n’était que le fruit de rĂ©gimes 1951, le directeur gĂ©nĂ©ral du ministĂšre israĂ©lien de la SantĂ©, le Dr. Chaim Sheba, prenait l’avion pour l’AmĂ©rique, d’oĂč il a ramenĂ© sept appareils de radiographie Ă  rayons X, que l’armĂ©e amĂ©ricaine lui avait cĂ©dĂ©s. Ces appareils de radiographie furent utilisĂ©s pour une expĂ©rience nuclĂ©aire massive, une gĂ©nĂ©ration complĂšte de jeunes SĂ©farades furent utilisĂ©s en guise de cobayes. Chaque enfant sĂ©farade allait recevoir 35 000 fois la dose maximale de rayons X, dans la tĂȘte. A cette fin, le gouvernement amĂ©ricain versa annuellement au gouvernement israĂ©lien 300 millions de livres israĂ©liennes. A l’époque, le budget global du ministĂšre israĂ©lien de la SantĂ© ne s’élevait, quant Ă  lui, qu’à 60 millions de livres, soit 5 fois moins !Les fonds versĂ©s par les AmĂ©ricains correspondraient, de nos jours, Ă  deux milliards de de circonvenir les parents des victimes, les enfants furent emmenĂ©s en voyage scolaire », et on dira plus tard aux parents que les rayons X Ă©taient un traitement contre une Ă©pidĂ©mie de teigne. 6 000 des enfants cobayes dĂ©cĂ©dĂšrent peu aprĂšs leur irradiation, beaucoup des survivants dĂ©veloppant des cancers qui emportĂšrent des milliers d’entre eux, au fil des annĂ©es, et qui continuent Ă  tuer certains d’entre eux, encore actuellement.
AprÚsLa médecine au temps des Pharaons, Bruno Halioua nous fait découvrir un nouveau pan de la pratique médicale dans l'Antiquité : la médecine au temp Tous les livres depuis 1997

Paru le 1 janvier 1981 import_contacts Collection En savoir plus - SĂ©rie histoire RĂ©sumĂ© DĂ©tails CompatibilitĂ© Autres formats Cet ouvrage est une réédition numĂ©rique d’un livre paru au XXe siĂšcle, dĂ©sormais indisponible dans son format d’origine. Lire plusexpand_more Titre Au temps des HĂ©breux EAN 9782706283635 Éditeur Hachette réédition numĂ©rique FeniXX Date de parution 01/01/1981 Format PDF Poids du fichier Inconnue Protection Filigrane numĂ©rique L'ebook Au temps des HĂ©breux est au format PDF protĂ©gĂ© par Filigrane numĂ©rique highlight_off Cet ebook n'est pas compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est plus adaptĂ© aux grands Ă©crans qu'aux petits Ă©crans car il ne permet pas d'adapter la taille de la police d'Ă©criture.

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