Cemardi 14 janvier 2020, Julien Courbet a pris les rênes de "Qui veut être mon associés ?". Un nouveau programme qui vient en aide à de jeunes entrepreneurs, et à voir ou revoir en

Ce mercredi 10 janvier 2022 à 21h10, M6 diffusera le deuxième épisode de la saison 2 de Qui veut être mon associé. Nelly, co-fondatrice de la start-up BeautyMix, se présentera à un jury d’ que TF1 poursuivra la diffusion de sa nouvelle série américaine, The Undoing, M6 misera sur une nouvelle soirée de Qui veut être mon associé ? ce mercredi 12 janvier 2022. Le deuxième épisode de la saison 2 de l’émission, menée par Xavier Domergue, sera programmé à 21h10. Au cours de cette nouvelle soirée de Qui veut être mon associé ?, de jeunes entrepreneurs solliciteront l’aide d’un jury d’investisseurs pour développer leur activité. Nicolas Subra se présentera avec une gamme de jus de fruits énergisants et Youssef proposera une solution d’enseignement innovante. Arianne s’attèlera, de son côté, à développer son réseau de distribution de pâtes. Nelly BeautyMix face au jury de Qui veut être mon associé Parallèlement à Lilian, venu pour soumettre une application liée aux souvenirs de personnes décédées, Nelly fera face au jury de Qui veut être mon associé ?. La jeune entrepreneuse est à la tête de BeautyMix, une start-up familiale qu’elle a fondée avec son frère, Mathieu. Le duo s’est donné pour objectif d’initier et soutenir une consommation plus respectueuse de soi, des autres et de la planète grâce au fait-maison. BeautyMix offre une gamme complète de solutions pour rendre la cosmétique maison accessible à tous. La start-up de Nelly et Mathieu ambitionne que chacun puisse concevoir ses propres produits de soin, d’hygiène, de maquillage et d’entretien à la maison, le tout à partir d’ingrédients naturels. Pour y parvenir, une application, baptisée BeautyMix, a été développée. Ainsi, la boutique de BeautyMix propose, par exemple, un pack pour fabriquer trois dentifrices euros, un kit bougié végétale et 49 euros selon, des lingettes démaquillantes réutilisables euros mais également de nombreux produits de la célèbre marque Briochin, disponible en grande surface. Quant au Robot malin » avec sa balance, il est proposé au tarif de départ de 129 euros. Des audiences prometteuses pour M6 Le premier épisode de la saison 2 de Qui veut être mon associé ? a été diffusé par M6 le mercredi 5 janvier. L’émission, dont la saison 1 avait été animée par Julien Courbet, a suscité la curiosité de million de téléspectateurs, soit de l’ensemble du public. La Six s’est classée à la quatrième place des audiences derrière France 2, TF1 et France 3. Toutefois, Qui veut être mon associé ? a signé un retour prometteur pour M6 sur cibles. L’émission, qui a recueilli les suffrages de 25% des femmes de moins de 50 ans responsables des achats, public où la Six était leader devant TF1, a déchaîné 29% des moins de 50 ans et 48% des 15/34 ans. Sur ces deux publics, la chaîne privée régnait également sur les audiences. Le deuxième numéro de cette saison 2 de Qui veut être mon associé ? est à suivre ce mercredi 12 janvier 2022 à partir de 21h10 sur M6.
Replay Accueil; Programme TV; Tous les programmes; Qui veut être mon associé ? La suite. Synopsis; Année de production : 2022; Genre : Divertissement ; Durée : 40 min. Synopsis . Ils avaient séduit les investisseurs et les téléspectateurs lors de la première saison avec des projets aussi différents que les masques anti-pollution, la restauration africaine, les
Politique Toto Morand devient conseiller communal à Epalinges au sein des Vert'libéraux archives. © KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT Share Tweet Guillaume "Toto" Morand passe chez les Vert'libéraux. Le trublion de la politique vaudoise rejoint les rangs du parti pour devenir conseiller communal à Epalinges, au-dessus de Lausanne. Une place s'étant libérée chez les Vert'libéraux à la suite d'un déménagement, leur président Félix Schmidt a demandé à Toto Morand s'il souhaitait les rejoindre. "J'ai réfléchi et je me suis dit qu'on pourrait faire quelque chose ensemble au niveau communal, vu l'engagement des Vert'libéraux en matière d'urbanisme", explique-t-il vendredi dans une interview accordée à 24 heures. L'entrepreneur, patron d'un magasin de chaussures, dit notamment vouloir faire barrage à la Municipalité d'Epalinges qui, selon lui, souhaite "bétonner ce qu'il reste d'espaces verts". Une première Toto Morand s'est porté quatre fois candidat pour une élection au Conseil d'Etat vaudois sous sa propre étiquette du "Parti de rien". C'est la première fois qu'il s'associe à un véritable parti. "D'habitude, on me demande de retirer ma candidature, plutôt que de participer", ironise-t-il. Toto Morand précise qu'il s'agit bien, pour le moment du moins, d'un engagement communal. "Je ne vais pas commencer à la ramener en tant que Vert'libéral vaudois ou suisse. Je reste indépendant". Outre ses quatre candidatures au Conseil d'Etat, Toto Morand s'est fait connaître pour différents combats, notamment la sauvegarde de la forêt du Flon à Lausanne. Il a aussi plusieurs fois défrayé la chronique pour des actions contre l'UDC, comme lorsqu'il avait installé un faux minaret à Bussigny en 2009, en réaction à la votation fédérale contre la construction des minarets. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Politique Recul de la satisfaction vis-à-vis du travail du gouvernement Publié Il y a 3 heuresle 29 août 2022 A un an des élections fédérales, la cote d'amour du Conseil fédéral n'est pas au beau fixe archives. © KEYSTONE/ENNIO LEANZA A la mi-août, seul un Suisse sur deux était satisfait ou plutôt satisfait du travail du Conseil fédéral, selon un sondage publié lundi par Tamedia et 20 Minuten. C'est 15 points de moins qu'à la fin 2021 65%. La popularité des membres du collège s'effrite également. Le ministre de la santé Alain Berset reste le mieux noté, avec une moyenne de 4,1 sur 6, contre 4,33 lors du précédent sondage. Il est talonné par Karin Keller-Sutter 4,05 et Viola Amherd 4,02, qui restent relativement stables. Les conseillers fédéraux en charge du dossier de l'énergie perdent des plumes Guy Parmelin voit sa note passer de 4,14 à 3,84, alors que celle de Simonetta Sommaruga chute de 4,00 à 3,66. La Bernoise est désormais devancée par Ueli Maurer 3,81. Quant à Ignazio Cassis, sa popularité ne profite pas de son année présidentielle. Il reste lanterne rouge de ce classement, avec une moyenne de 3,5. Une formule pas si magique La population est très divisée sur la future composition du Conseil fédéral. Seuls 18% souhaitent continuer avec l'actuelle formule magique 2 UDC, 2 PS, 2 PLR, 1 Centre. Mais aucune autre proposition ne recueille plus d'avis favorables. Une formule à six partis 2UDC, 1 PS, 1 PLR, 1 Centre, 1 Vert, 1 Vert'libéral est soutenue par 17% des Suisses. Il en va de même pour la variante qui verrait le PS céder un siège au PVL, alors que 16% souhaiteraient que le PLR abandonne un marroquin au profit des Verts. Le désamour touche aussi le Parlement. A la mi-août, seulement 46% de la population était satisfaite ou plutôt satisfaite du travail des Chambres fédérales, contre 56% à la fin décembre. Le sondage représentatif a été réalisé en ligne les 15 et 16 août par l'institut LeeWas en collaboration avec 20 Minuten et Tamedia. 26’298 personnes de toute la Suisse y ont pris part, dont 3846 Romands. La marge d'erreur est de +/- 1,1 point de pourcentage. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Actualité Fribourg la loi sur les agglomérations est maintenue Publié Il y a 5 joursle 24 août 2022 La ville de Fribourg et ses communes environnantes ont été au centre des débats mercredi devant le Tribunal fédéral archives. © KEYSTONE/LAURENT GILLIERON La nouvelle loi fribourgeoise sur les agglomérations reste en vigueur. Le Tribunal fédéral rejette la demande d'annulation de six communes. Elles estimaient qu'elles auraient dû être consultées après les modifications fondamentales apportées par le Grand Conseil. Réunie en audience publique mercredi, la 1ère Cour de droit public a renoncé, à une majorité de trois juges contre deux, à annuler la loi sur les agglomérations LAgg. Les six communes recourantes, membres de l'Agglomération de Fribourg, se plaignaient de n'avoir pas été consultées après les modifications apportées par le Grand Conseil au projet du Conseil d'Etat. La commission du Parlement avait décidé en effet de revoir fondamentalement la forme juridique des associations de communes. "Il aurait été certainement souhaitable que les communes concernées soient entendues par la commission", a reconnu le juge rapporteur. En l'espèce, les autorités fribourgeoises, soucieuses de faire avancer l'objet, s'en sont tenues à une interprétation formaliste du droit qui ne reconnaît pas aux parties intéressées un droit à être consultées durant la procédure parlementaire. Limites du droit d'être entendu Fondamentalement, le droit d'être entendu revendiqué par les recourantes appartient aux personnes dans les procédures administratives et judiciaires, a rappelé une autre magistrate. Il peut être accordé à titre exceptionnel à des personnes particulièrement concernées dans la procédure législative. La jurisprudence mentionne des propriétaires, par exemple. Les deux juges minoritaires ont défendu l'opinion selon laquelle cette jurisprudence pouvait s'appliquer aux communes. "Il suffit de remplacer le terme de 'propriétaires' par celui de 'communes'", a souligné l'un d'eux. La majorité a estimé au contraire que l'on allait s'engager sur une voie dangereuse. "Si le droit d'être entendu peut être revendiqué devant un parlement, on va se heurter à une foule de difficultés pratiques, a indiqué une juge. Qui pourra l'exiger? A partir de quelle modification du projet? Sera-t-il accompagné d'autres garanties, tels l'accès au dossier ou le droit à une décision motivée?" "Judiciarisation" "On va s'engager dans une judiciarisation du processus parlementaire", a résumé le rapporteur. Le Tribunal fédéral ne doit pas introduire une jurisprudence qui permettrait d'attaquer toutes les étapes du processus parlementaire. Ce magistrat a rappelé aussi que la LAgg a réuni des majorités toujours plus marquées au fil du débat parlementaire. Au final, elle a été approuvée par 75 voix contre 5 et 9 abstentions. En outre, les communes recourantes n'ont pas lancé de référendum. Annuler ce texte aboutirait simplement à répéter le même processus, avec le même résultat. Entrée en vigueur le 1er janvier 2021, la LAgg prévoit en substance que les agglomérations ne sont plus des organisations indépendantes corporations de droit public mais des associations de communes. Ce changement de forme juridique n'était pas prévu par le Conseil d'Etat dans son projet. Nouvelles exigences fédérales Lors de l'examen préalable, la commission compétente s'est largement écartée de la forme en vigueur. Le projet de loi a été modifié en conséquence, sans que les principales intéressées, soit les dix communes de l'Agglomération de Fribourg ne soient consultées, en dépit de leurs réitérées demandes. La commission et le Grand Conseil ont justifié ce changement par la nécessité de se conformer à la législation fédérale sur l'aide aux projets d'agglomération. La forme de l'association autorise des collaborations à géométrie variable, en fonction des thèmes, ou intercantonales. arrêt 1C_636/2020 du 24 août 2022 Cet article a été publié automatiquement. Source ats Economie Une pétition pour faciliter le 30 km/h dans le canton de Vaud Publié Il y a 6 joursle 23 août 2022 La pétition pour réclamer des conditions moins strictes pour instaurer le 30 km/h a été déposée mardi après-midi à Lausanne. © KEYSTONE/LAURENT GILLIERON Une pétition a été déposée mardi en faveur d'une plus grande généralisation du 30 km/h sur les routes vaudoises. Munie de 1635 signatures, elle demande que les communes puissent plus facilement limiter la vitesse sur leurs tronçons routiers. Les communes peuvent se sentir "découragées" en raison "des critères stricts" imposés par le canton, remarque David Raedler, président de l'ATE Vaud, qui a porté cette pétition avec le Groupement pour le 30 km/h. Le député des Verts cite des "procédures longues et coûteuses", mais aussi différentes conditions à remplir, par exemple en terme de densité de population requise. Contacté par Keystone-ATS, David Raedler explique ainsi que certains secteurs, bien que bruyants, ne peuvent pas passer en zone 30 km/h, car ils ne sont pas suffisamment peuplés. Il souligne également qu'il n'est pas possible de réduire la vitesse sur des routes considérées comme des axes prioritaires par le canton. Des axes qui, pourtant, auraient tout à gagner en passant à 30 km/h en matière de nuisances sonores et de sécurité, mais aussi de fluidité du trafic, affirme-t-il, prenant en exemple l'avenue de Ruchonet à Lausanne. Appuyer l'action politique La pétition a été remise mardi après-midi devant le Parlement vaudois. Ce dépôt a été accompagné par une "action sonore", un haut-parleur diffusant le bruit engendré par des véhicules à 50 km/h puis à 30 km/h. Parallèlement, la pétition a aussi été déposée au Conseil communal de Lausanne. Les signataires demandent en effet à la capitale vaudoise, précurseuse en la matière 30 km/h de nuit, multiplication des zones 30, d'en faire encore plus. Et notamment en généralisant le 30 km/h, de jour comme de nuit. Selon David Raedler, la récolte de signatures, démarrée fin avril, a rapidement rencontré du succès. Lancée pour répondre à des demandes de citoyens et d'élus communaux, cette pétition va permettre "d'appuyer" l'action politique des partisans du 30 km/h, estime-t-il. Autre pétition Du côté des opposants, une pétition munie de 840 signatures avait été déposée en janvier dernier pour demander aux autorités politiques de réintroduire le 50 km/h de nuit à Lausanne, hormis dans les quartiers résidentiels. Pour les instigateurs de cette pétition, le 30 km/h n'a que peu d'impact sur le bruit dans une ville qui tourne désormais "au ralenti". Cette pétition n'a pas encore été abordée en plénum par le Grand Conseil. La commission des pétitions a toutefois déjà proposé de la classer par neuf voix contre une, annonçait fin juillet un article de 24 heures. Pour mémoire, Lausanne a été la première ville de Suisse à instaurer le 30 km/h de nuit en septembre 2021. Ailleurs dans le canton, Vevey a déjà annoncé qu'elle allait suivre cet automne. Plusieurs autres communes y songent, à l'instar de Cossonay ou Montreux. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Politique L'Alliance vaudoise passe à l'action Publié Il y a 6 joursle 23 août 2022 Marc-Olivier Buffat, président du PLR Vaud, a présenté mardi avec ses homologues Kevin Grangier UDC et Emilio Lado Centre les premiers effets de l'Alliance vaudoise archives. © KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT Victorieuse en avril des élections cantonales, l'Alliance vaudoise veut passer "de la parole aux actes". Ses trois partis - PLR, UDC et Centre - ont présenté mardi leur premier objet parlementaire commun, une résolution consistant à instaurer une task force vaudoise en matière d'énergie. Ce texte, déposé mardi après-midi et qui devrait être débattu début septembre par le Grand Conseil, demande au Conseil d'Etat de "dresser un inventaire" des ressources énergétiques disponibles, a annoncé Marc-Olivier Buffat, président du PLR Vaud, lors d'un point presse devant le Parlement vaudois. L'objectif vise à "mobiliser" toutes les solutions liées aux énergies renouvelables, à "mettre le turbo" sur certains projets comme pour le barrage Bex-Massongex, mais aussi à mener "une indispensable réflexion" sur l'exploitation du gaz naturel dans le sous-sol vaudois, a-t-il ajouté. Une telle exploitation est interdite depuis 2018 dans le canton. Pourtant, ces dernières semaines, l'idée de relancer le projet d'extraction de gaz naturel sur le site de Noville est réapparue. "Par rapport à 2018, la situation géopolitique a bien changé. Mieux vaut le gaz de Noville que le gaz de Poutine", a remarqué Marc-OIivier Buffat. Ce gaz vaudois constitue "une énergie de transition que l'on se prive d'exploiter", a renchéri Kevin Grangier, président de l'UDC Vaud. Collaboration pour les fédérales Outre l'annonce de cette résolution, les présidents du PLR et de l'UDC, accompagnés de leur homologue du Centre Emilio Lado, ont indiqué qu'un comité de l'Alliance du centre avait été instauré. Ils y siégeront tous les trois et organiseront régulièrement des rencontres avec leurs conseillers d'Etat et leurs groupes au Grand Conseil. "Nous voulons continuer de dialoguer et, partout où cela est possible, lancer des actions et campagnes communes", a expliqué Kevin Grangier. "Les élections cantonales ont montré que la population souhaitait une stratégie commune, des solutions de compromis. Chaque parti va conserver sa ligne, mais nous ne resterons pas butés sur nos positions", a affirmé Emilio Lado. Dans le même ordre d'idée, les conseillers d'Etat élus via l'Alliance vaudoise - Christelle Luisier, Isabelle Moret, Frédéric Borloz tous PLR et Valérie Dittli Centre - seront invités selon un tournus à participer aux séances du groupe UDC. L'occasion pour le parti agrarien d'avoir à nouveau accès à un ministre, ce qui ne lui est plus arrivé depuis 11 ans et le décès de Jean-Claude Mermoud. Une collaboration est aussi envisagée pour les élections fédérales de 2023. Les trois partis chercheront à s'apparenter pour le Conseil national et à s'allier pour le Conseil des Etats. "Des discussions sont en cours, mais nous n'allons rien précipiter", a remarqué Marc-Olivier Buffat. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Economie Coupures d'électricité le PLR interpelle à nouveau le gouvernement Publié Il y a 6 joursle 23 août 2022 Des députés PLR vaudois attendent des réponses claires du gouvernement sur le risque de pénurie énergétique et surtout d'électricité photo symbolique. © Keystone/DOMINIC FAVRE Le groupe PLR au Grand Conseil vaudois, par la voix du président du parti Marc-Olivier Buffat, s'inquiète toujours d'un éventuel risque de blackout cet hiver en raison de la crise ukrainienne. Dans une interpellation déposée mardi, il questionne à nouveau le gouvernement sur sa stratégie en cas de rationnement possible d'électricité, voire de coupures sectorielles ou temporelles. "Avec la guerre en Ukraine notamment et la ferme volonté de nos voisins européens de se libérer du pétrole, du charbon et du gaz politique qui va de pair avec la décarbonisation de la société, le risque de pénurie énergétique, mais surtout d'électricité, s'est encore démultiplié ces derniers mois", écrivent une vingtaine de députés PLR. Inquiets, les signataires posent la question d'un plan B car "l'impact en sera considérable pour notre économie, notre population et notre vie quotidienne". L'interpellation formule six questions urgentes. Le texte demande en premier lieu quelle est la stratégie et le dispositif prévu par le Conseil d'Etat en cas de pénurie et de coupures d'électricité. Le PLR veut aussi savoir quelles sont les mesures d'anticipation envisagées afin d'éviter ces coupures ou un rationnement. Si une situation catastrophique devait se matérialiser, comment et par quels moyens le rationnement pourrait-il être mis en ½uvre et selon quels critères, et quels seraient les personnes ou les secteurs économiques ou géographiques qui seraient potentiellement touchés, s'interrogent encore les signataires. Document présenté d'ici la fin de l'année? En réponse à deux précédentes interpellations déposées l'une par le PLR déjà et l'autre par l'UDC, le gouvernement indique avoir demandé début 2022 à différences services administratifs d'élaborer une stratégie de réduction du risque d'une rupture de la fourniture d'électricité et de son impact. Ce document doit lui être présenté pour approbation d'ici la fin de l'année, précise-t-il. Le Conseil d'Etat rappelle en outre que la situation de pénurie est gérée uniquement au niveau de la Confédération par l'intermédiaire de l'Organisation pour l'approvisionnement en électricité en cas decrise OSTRAL. Elle décrète si nécessaire des mesures pour limiter la consommation, en incitant dans un premier temps à économiser l'électricité, puis à interdire certains usages éclairage de vitrines, jacuzzis, etc. Si cela ne suffit pas, Berne peut obliger le rationnement de la consommation pour les clients consommant plus de 100'000 kWh/an d'électricité. En dernier recours, la Confédération peut décider la mise en place des plans de délestage, qui impliquent de couper à intervalles réguliers l'électricité de quartiers entiers. Dans le cadre du plan OSTRAL, elle interdit également le commerce de l'électricité et prend le contrôle des moyens de production. Cet article a été publié automatiquement. Source ats
Voir Replays] QUI VEUT ÊTRE MON ASSOCIÉ La Suite Saison 2 Épisode 4 du Mercredi 26 janvier 2022 [Vidéo en Streaming] [Episode intégrale Gratuit] [INÉDIT] Le streaming est employé pour regarder ou être en phase avec des contenus sur internet . Service téléspectateurs Castings Qui veut être mon associé ? Vous souhaitez participer à Qui veut être mon associéVous êtes entrepreneur… - Et êtes à l’origine d’un projet original, innovant ou qui a l’ambition de révolutionner le quotidien des français. - Vous vous trouvez à un stade critique de développement et avez besoin d’aides financières pour agrandir ou sauver votre société - Vous recherchez des fonds pour accélérer votre succès Pour s’inscrire Casting Qui veut être mon associé ?
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Nos articles sur TV La saison 2 de Qui veut être mon associé reprend sur M6. Son présentateur est Xavier Domergue. La nouvelle saison de Qui veut être mon asscocié » reprend sur M6. Nous pourrons retrouver des candidats plus motivé que jamais à défendres le projet de leur vie ce mercredi 5 janvier en prime sur M6 à 21h05. Tous les mercredi, vous pourrez retrouver votre programme en prime sur M6 ou en programme, des chefs d'entreprise prêts a invertir leur propore argent dans les projets des candidats, tous, plus motivés que jamais. Au total, huit investisseurs se relaieront dans les 5 sièges de l'émission pour se demander dans quels projets ils vont investir. Il est possible de revoir cette émission en replay. Le présentateur est Xavier Domergue, journaliste sportif sur M6. À lire aussi Qui présentera l'émission Qui veut être mon associé en 2022 ?Il s'agit de Xavier Domergue, habituellement un journaliste sportif de la chaîne M6. Il a en particulier contribué à commenter l'Euro de football en 2021 pour M6. Il est notamment le fils de Jean-François Domergue, ancien international français de football qui a notamment évolué au poste de défenseur avec les Girondins de Bordeaux. Il sera aux côtés de Julien Courbet, lui plus connu, notamment pour ses émissions aidant des téléspectateurs contre les met à disposition gratuitement la rediffusion de ses programmes sur son site internet officiel source. Pour y accéder, il vous suffit simplement de créer un compte et le tour est joué !Nous pourrons retrouver trois investisseurs présent lors de la saison précédente. On retrouvera dans un premier temps Marc Simoncini fondateur de Meetic. Ensuite nous retrouverons Delphine André, dirigeante du Groupe Charles André » société de transport. Et enfin, Eric Larchevèque co-fondateur de Ledger concepteur de portefeuille de cryptomonnie. Nous retrouverons par ailleurs de nouvelles têtes comme Jean-Pierre Nadir fondateur de Easyvoyage ainsi que FairMoove, Isabelle Weill présidente de Iwcorp, Anthony Bourbon fondateur de Feed et enfin, Sophie Mechaly fondatrice de la ligne de vêtement Paul & cette nouvelle saison, nous pourrons aussi retrouver les candidats de la saison précedente afin de voir comment leur entreprise a évolué et comment ils s'en sortent aujourd'hui. À lire aussi Publié le 05/01/2022 à 1837 Par Nicolas S.
Quevous soyez en France ou à l'étranger, vous pouvez regarder l'émission « Qui veut être mon associé » en streaming gratuit, en direct comme en replay. Voyons comment procéder facilement dans cet article. L'émission de la chaîne M6 « Qui veut être mon associé » aussi connu sous le diminutif QVEMA met en lumière des entrepreneurs
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